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Célébration des 60 ans de vie de la Radio Bobo : Venez découvrir les 16 et 17 Mars 2023 à la RTB2 Hauts-Bassins.

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la rédaction
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 La Radio Bobo commémore ses 60 ans de vie au sein de la RTB2 Hauts-Bassins. A cette occasion, trois panels sont prévus et animés par les professionnels de l’information. Les panels auront liés le jeudi 16 Mars 2023 à O9heures dans la salle Kasmir KONE de la RTB2. Les panelistes seront successivement Mafarma SANOGO, Baba Hama et  l’ARCI/OUEST. La commémoration des 60 ans de vie de la Radio Bobo est placée sous la présidence de Monsieur Rimtalba Jean Emanuel OUEDRAOGO, par ailleurs Ministre de la communication.

Cathérine S.ZONGO

 

Déjà le 16 Mars 2023 à 08 heures : journées portes ouvertes suivies de la foire commerciale.

09heures : Conférence publique

16heures : Séance d’aérobic

Le 17 Mars 2023 à 9heure sera consacré à la cérémonie d’ouverture avec les officielles. L’heure limite d’arrivée est fixée à 08H30.

« Quelle radio pour quel public à l’ère du numérique ? » C’est le thème de la commémoration des 60 ans de vie de la radio Bobo prévu se tenir les 16 et 17 Mars 2023.Autre chose qui tire l’attention des professionnels des médias c’est la tenue des échanges ‘’ be to be’’ avec les professionnels du domaine qui viendront en majorité de la capitale du Burkina faso.

Trois(03) thèmes sont au programme  pour mener à bien la journée du jeudi 16 Mars. Il s’agit des échanges sur les thèmes innovants que sont :

« 60 ans de Radio Bobo : quelle radio pour quel public à l’ère du numérique ? » constitue le premier thème et sera animé par Mafarma SANOGO, l’ancienne coordonatrice du SIG. Le second thème, il s’agit de quel avenir et quel public pour la Radio Bobo à l’ère du numérique et des réseaux sociaux » ? Le dernier thème, c’est la diversité linguistique sur Radio Bobo : Rôle et place des langues nationales dans la promotion du vivre ensemble. Ce thème sera animé par l’ARCI/OUEST.

Ensemble donnons vie aux 60 ans  de la Radio Bobo.

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Bobo-Dioulasso : La commune de Bobo et  de BAMA  renforcent   leur relation.

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La commune de Bobo-Dioulasso a organisé un atelier d’échange avec les responsables de la commune  rurale de Bama. L’objectif  de cet atelier est de dynamiser la coopération entre la commune de Bobo-Dioulasso et la commune rurale de Bama. Cette volonté de coopérer  a été matérialisée  par la signature d’une convention entre les deux communes. La signature de convention a eu lieu dans la matinée du Vendredi 10 Mars 2023  dans la salle de réunion de  l’Hotel de ville, en présence du président de la délégation spéciale de Bobo-Dioulasso et de Bama.

Cathérine S ZONGO

La commune de Bobo-Dioulasso et celle de Bama se sont engagées dans une action de coopération décentralisée  à travers une coopération intercommunale. La  commune de Bobo-Dioulasso et celle de Bama constituait bien avant un seul territoire. Aujourd’hui, ces deux communes se sont engagées à nouer des relations d’intercommunalités. Ce projet de création d’une communauté de commune a pour objet  de créer un établissement public de coopération intercommunale dénommé : la communauté des communes  de Bobo-Dioulasso e /Bama en abrégé(CCBB).

Une vue de la mobilisation des acteurs des deux communes

Considéré comme l’un des facteurs clés du développement local, le concept de communauté de commune est assez récent au Burkina faso. Et, c’est à l’issu des conclusions de la deuxième session de l’année du conseil communale de Bobo-Dioulasso qu’avait autorisé un partenariat pour la création d’une communauté des communes entre la commune urbaine de Bobo et de Bama.

Quant aux responsables de la délédation spéciale de la commune rurale de Bama, dont le président est Abdoulaye TRAORE,a lui aussi délibéré en sa  session extraordinaire de Novembre 2022 sur la signature d’une convention de communauté de commune Bobo/Bama .Et c’est dans cette même  optique que la commune de Bobo-Dioulasso et la commune rurale de Bama organisent la présente signature de convention de la communauté communale.

Photo de la signature des conventions entre Bobo et Bama

Selon Abdoulaye TRAORE ,PDS de la commune rurale de Bama, les membres de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso et de Bama ont été informés de la procédure de création de la communauté de commune et se dit engagés à soutenir les démarches des deux communes. Cette signature de convention permettra un temps soit peu à accroitre les opportunités de collaboration dans le cadre des partenariats contenus dans ladite convention.

Au dire du président de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso, Adama BIDIGA, il s’agit de façon spécifique démobilisé les membres  de la délégation spéciale de la commune de Bobo-Dioulasso et de Bama autour de la communauté de commune. Cette convention va favorisée et accroitre les opportunités de collaboration.

Photo de famille des participants.

Ces opportunités sont entre autres, la facilitation de la mobilité urbaine et la  commercialisation des produits maraichers entre les deux communes.

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Banfora : les femmes célèbrent autrement le 08 Mars.

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Les femmes ressortissantes de la ville de Banfora se sont  réunies autour d’un panel pour célébrer autrement la journée du 08 Mars qui leur est dédiée. La célébration de cette journée du 08 Mars à Banfora a été faite par un grand panel dans la journée du Mardi 07 Mars 2023 dans les locaux de la nouvelle Mairie sous le patronage de madame Marguérite OUEDRAOGO /BONANE, Présidente de la Commission de l’Informatique et des Libertés (CIL), sous la présidence du directeur Exécutif de l’Association pour la Gestion des Ressources Naturelles et de la Faune (AGEREF / Comoé- Léraba et sous le parrainage du Président de la Délégation Spéciale de la Commune de Banfora.

Adama TRAORE

 

« Rôle et place de la femme dans la réforme du secteur de la sécurité au Burkina Faso », c’est sous ce thème que se tient le panel à Banfora, à la faveur de la célébration de la journée internationale de la femme.

Vue de la mobilisation des femmes de Banfora

Sous l’initiative de l’Association Pyramide Style ce panel avait pour objectifs de soutenir les Forces de Défenses et de Sécurité à travers la femme selon madame Fatoumata CARAMA Présidente de l’Association Pyramide Style, promotrice de cette activité : « A cette occasion de 8 mars nous sommes retrouvées autour de ce thème afin qu’à travers nos échanges nous puissions nous engager sur cette lutte qui dure près d’une décennie pour le retour de la paix dans notre pays… » Présente à cette activité, madame Marguerite OUIEDRAOGO/BONANE, Présidente de la CIL et patronne de cette activité se dit très heureuse de l’organisation de ce panel pour échanger sur le rôle et la place de la femme dans le système sécuritaire de notre pays non seulement  en  cette période d’insécurité mais également en cet moment en lieu et place du Djandjoba et autres.

                                                  Une vue des panélistes.

Pour elle : c’est une bonne chose pour les filles et fils ainsi que les autorités de la région des cascades de soutenir l’Association Pyramide Style pour faire de cette activité d’une réussite. C’est donc pour moi un réel plaisir de patronner cette activité et même de faire le déplacement de Banfora afin d’accompagner les femmes de la cité du paysan noir. Elle a profité de cette occasion pour lancer un message de sensibilisation aux populations des Cascades : « Le message en tant que présidente de la CIL, que je lance aux population des Cascades et particulièrement aux femmes, c’est de protéger leurs données personnelles dans toute activité qu’elles mènent sur le terrain pour jouer efficacement leur partition dans le système sécurité de notre pays. Elles sont très dynamiques et nous comptons beaucoup elles pour jouer cette partition aussi bien dans la région des Cascades qu’au Burkina Faso… »

  

Ph de famille  des participants                    Des sacs de riz ont été offerts aux PDI de Banfora

L’Association des Ressortissants des Cascades résidents aux Etats Unis a saisi cette occasion pour offrir une tonne et demi  de riz aux personnes déplacées internes de la commune de Banfora par l’intermédiaire de l’Association Pyramide Style. Le don a été remis à la personne en charge de l’Action Sociale Communale.

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Bobo-Dioulasso:Les membres chargés de la mise en oeuvre des recommandations du foncier installés.

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Célébration du mariage collectif à l’Hotel de ville de Bobo-Dioulasso: 83 couples régularisent leur situation.

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Dans la matinée du Samedi 04 Mars 2022, le Président de la Délégation spéciale , Adama BIDIGA a procédé au mariage collectif de 83 couples de la ville de Bobo-Dioulasso. L’objectif de ce mariage collectif est de faire la promotion du mariage afin d’encourager les couples à venir régulariser leur situation.  La célébration de ces mariages a été faite en présence de l’officier de l’etat civil et des témoins  des différents couples.

B.A.OUATTARA

Il est 9h, nous sommes à l’hôtel de ville de Bobo-Dioulasso pour la célébration du mariage collectif. Après  les salutations  et remerciements, le Président de la délégation spéciale a fait savoir au grand public qu’il a à sa possession  quatre vingt  trois (83) couples.

Vue de la mobilisation des 83 couples pour la régularisation de leur situation.

Disons-nous que cette célébration massive de mariage est  une  première fois en son genre à l’  Hôtel de ville de Bobo-Dioulasso.  Après vérification de l’identité des couples et de leur témoin, il s’est avéré qu’un seul couple était absent. Il  rejoignit la salle mais, il est arrivé en retard. Un autre cas qu’il faut signaler, un témoin s’est fait remplacé. Le PDS a exigé sa présence à l’hôtel de ville. Un instant, il a apparu.

Si certains couples   sont vêtus en uniformes, d’autres par contre sont habillés en tissu, avec un mélange de faso danfani. Aux alentours de la mairie centrale, on entend partout le brouhaha des jeunes venus  accompagner  et encourager leur ami ou frère. Selon le président de la délégation spéciale, Adama BIDIGA cette phase est une étape majeure dans la vie de l’homme.

Ph du Président de la délégation spécial communale,Adama BIDIGA

Ainsi, le mariage collectif vient consolider et encourager les uns et les autres qui sont en concubinage, d’évoluer vers le mariage civil. A en croire le Président de la délégation spéciale, le mariage collectif est consacré par le code des personnes et de la famille à toute personne désirant prendre part sans aucune distinction de la loi, d’y prendre part. Selon le même  code des personnes et de la famille, et rapporté par le Président de la Délégation spéciale, l’un des époux a le droit de faire une profession de son choix. Les époux ont droit et l’obligation de nourrir leur enfants.

Une partie de la signature de l’acte de mariage

Sur les quatre vingt trois (83) couples, autours de vingt sept(27) couples se sont déclarés monogame. Et parmi  les quatre vingt trois(83) couples, on note un seul couple polygame. Il s’agit de Monsieur SAVADOGO, celui qui s’est présenté avec ses deux femmes devant la loi et l’officier de l’Etat civil.

Lors de la célébration du mariage collectif à la Mairie Central de Bobo-Dioulasso, le plus vieux couple est de 1953.Il s’agit de Monsieur Gansoré et Mll Savadogo. Le plus jeune couple est de 1996.

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Immersion à la SOFITEX: les Journalistes s’imprègnent des réalités de la filière COTON

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La Société des Fibres Textiles a organisé un atelier d’immersion des journalistes. Cet atelier s’est tenu du 1er  au  O3 Mars 2023 à Bobo-Dioulasso. L’objectif de cet atelier est de renforcer  les connaissances des journalistes et hommes de médias sur la politique de relance durable de la production cotonnière. L’atelier a eu lieu en présence des représentants de la SOFITEX et des hommes de médias. C’est la salle de réunion de la  Direction  industrielle qui a accueilli les participants.

Cathérine S. ZONGO

   C’est pour  répondre aux exigences de la relance durable de la production cotonnière et de la transformation du coton dans un contexte de bonne gouvernance, que la direction générale de la sofitex entend mener cette relance en relation étroite avec la presse. Les journalistes sont venus de léo, de Houndé du Kénédougou pour assister à cet atelier d’échange initié par la SOFITEX à Bobo-Dioulasso.

Vue de la mobilisation des hommes de médias.

Trois jours durant, les  hommes de média ont échangé sur les enjeux du développement de la filière coton. Après ces échanges,une visite de terrain est prévue dans la zone industrielle de la SOFITEX BOBO3

Etant donner que le coton a longtemps été le premier produit d’exportation du Burkina faso avant d’être au cours de ces dernières années le deuxième après l’or. Et, c’est pour  remédier à cette place que la direction générale  de la société des fibres textiles  du Burkina a décidé de repenser et d’adapter sa stratégie de communication et de la mettre au centre de la nouvelle politique de relance de la filière.

 

Image de  l’usine d’égrenage de la SOFITEX  Bobo3

Selon le Directeur général de la SOFITEX, cette  renforcement des capacités des hommes de médias a pour objectif spécifique tel que :

Le renforcement des connaissances des journalistes et hommes de médias sur la politique de relance durable de la production cotonnière afin qu’ils soient de véritables relais de l’information crédible auprès  des partenaires de la filière.

Prospecter avec les hommes de médias et les journalistes, les voies et moyens de nouer des partenaires pour que chacun puisse jouer convenablement son rôle d’acteur dans la production cotonnière au Burkina-Faso.

Assurer l’accès à l’information aux hommes de médias et aux journalistes pour toute question liées à la production cotonnière susceptible de contribuer à la relance de la production cotonnière.

Identifier avec les journalistes et hommes de médias des thèmes principaux pouvant être régulièrement partagés avec les partenaires sur la production cotonnière.

Aussi, il s’agit de créer une plateforme ou un réseau de journalistes spécialistes du coton et pouvant effectivement contribuer par des productions journalistiques à la relance durable de la filière.

A l’issu de cet atelier, les hommes de médias ont eu connaissance les enjeux de la relance de la production cotonnière. Ils se sont rassurés de l’importance de la communication dans le processus de développement afin qu’ils soient de véritables relais de l’information crédible auprès des partenaires de la filière COTON.

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Cadre régional de dialogue dans les Hauts-Bassins : les acteurs réunis pour la revue de la politique nationale de développement

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 La première session ordinaire 2023 du Cadre Régional de Dialogue (CRD) des Hauts-Bassins s’est tenue ce vendredi 03 mars 2023à Bobo-Dioulasso. Présidé par la secrétaire Générale de la région des Hauts-Bassins, Madame Mariama Konaté, représentant le Gouverneur de la région, ce cadre a été consacré à la revue régionale annuelle 2023 de la politique nationale de développement.

Par Judicael S.SOMBIE

Il s’est agi pour les membres statutaires de ce cadre, dans un premier temps d’examiner et adopter le compte rendu de la première session de l’année écoulée,dans un second temps de présenter le rapport régional de performance annuelle 2022 enfin de passer en revue le plan d’action pour la stabilisation et le développement de la région des Hauts -Bassins.

Vue de la mobilisation des acteurs

Tout en saluant la mobilisation et la détermination des acteurs, la secrétaire Générale de la région, dans son discours d’ouverture, a souligné l’importance de la politique nationale de développement qui prend en compte les priorités locales de développement et vise à assurer la cohérence entre les documents de programmation opérationnelle des collectivités territoriales avec les priorités de la transition « Ainsi ,dans ce contexte marqué par des défis hautement sécuritaire ,les actions de développement territoriales ont été orientées vers treize objectifs stratégiques couvrant tous les quatre piliers du plan d’action pour la stabilisation et le développement » ,a-t-elle indiqué. Elle a également invité les acteurs concernés à s’approprier le contenu des communications qui sont livré lors de cette session et à travailler conformément à ce plan national de développement.

Ph de la secrétaire générale de la région

Les différents acteurs présents à ce cadre se sont dits satisfait au vu des points évoqués au cours de cette rencontre. L’examen de ces bilans et rapports de l’année écoulée permettra une capitalisation des expériences passées en vue d’une meilleure mise en œuvre de la politique nationale de développement de l’année en cours. Cela constituera un  outils d’orientations désormais des différentes activités annuelles de la région en phase avec la transition.

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Bobo-Dioulasso : La LIFA veut soulager les PDI en termes de vivres.

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Dans la matinée de ce Lundi 27 Février  2023, une équipe du journal en ligne  jeunereporter a rendu visite au président de la  League Islamique du FAso (LIFA) , OUSTAZ Amad SANOGO sise au quartier  ste Etienne de la ville de Bobo-Dioulasso, dans le cadre de la collecte du vivre pour les PDI de la ville de Sya.

CATHERINE pour le flash

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Procès de Nestor PODASSE à Bobo-Dioulasso : 24 Mois de prison dont six(06) mois fermes avec 18 Mois de sursis, avec une amende de 2000.000 de francs cfa

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   Le procès du Leader panafricain Nestor Podasse s’est tenu ce Lundi 27 Fevrier 2023 au Tribunal de Grande Instance de Bobo-Dioulasso. Malgré les interventions des sages, des autorités religieuses et coutumières accompagnées  des plaidoyers des trois avocats, le n’ont pas empêché le juge a ce verdict de 24 Mois de prison dont six(06) mois fermes avec 18 Mois de sursis et le tout assortie d’une amende de deux millions de francs cfa fermes. Nous comptons faire un appel dans les quinze jours à venir comme le veut la procédure judiciaire.

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Bobo-Dioulasso: Plus de 200 poissons sacrés meurent dans les eaux du Houet

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Plus de 200 poissons notamment des silures sacrés sont morts dans les eaux du marigot Houet à la hauteur du pont à côté du musée communal, selon une publication de nos confrères de l’AIB de ce Samedi 25 Février 2023.

Les poissons morts ont été découverts entre le 24 et le 25 février 2023 dans des eaux noirâtres. Cette pollution du marigot Houet, cause  la mort des silures, serait due, selon une source communale, aux eaux sales collectées dans les différentes industries et qui devaient passer par les égouts.

Un de ses égouts, à en croire cette source, serait bouché et les eaux sales ont trouvé une autre voie en passant par une autre canalisation pour se déverser dans le marigot Houet.

Ces poissons sacrés ont été enterrés sur place selon des rites traditionnels et des mesures sont en cours pour nettoyer les eaux polluées afin de sauver les autres silures.

Source :AIB

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Jeune Reporter.net est un média en ligne basé à Banfora dans la région des Cascades, Province de la Comoé du Burkina Faso. Il a été créé pour permettre de donner plus de visibilité médiatique à la région.  

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