Le premier orphelinat de la province de la Léraba, d’une capacité d’accueil de 100 enfants, a ouvert ses portes le 16 juin 2023 à quelques encablures de Sindou. Avec une  capacité d’accueil  et de prise en charge d’environ  100 enfants. C’est  le secrétaire général de la province ,Mr  Somé, qui a participé au  lancement des activités de cet orphelinat.

Par Adama TRAORE

   D’une capacité d’accueil  et de prise en charge 100 enfants en régime d’internat sans distinction de race, de sexe, d’ethnie, de religion et ou d’origine sociale, l’orphelinat est situé à quelques encablures de la ville de Sindou sur l’axe Sindou-Konadougou.

C’est à la faveur de la célébration de la journée de l’enfant africain, que la Direction provinciale en charge de l’Action sociale (DPCAS) de la Léraba a choisi pour le lancement technique des activités de ce centre d’accueil des enfants dite de détresse (CAED.

Les enfants  pourront être pris en charge en régime internat tous les jours de l’année pour un objectif final d’adoption ou de retour à la famille d’origine, a affirmé le DPCAS, Ousmane Ouédraogo.

Jusque-là, la province de la Léraba n’avait que trois familles d’accueil agrées : une dans la commune rurale de Niankorodougou, une dans celle de Douna et une autre à Sindou, chef-lieu de la province de la Léraba pour aider les services de l’Action sociale dans la garde et la protection des enfants.

Une vue de quelques matériels offerts

Il faut signaler que la promotrice de ce centre est la dame de la famille d’accueil agrée de Sindou,  Gnissira Traoré, épouse Bado.

Selon Mme Bado, c’est un rêve d’enfance qui vient d’être réalisé et ce, grâce au soutien  de la DPCAS de la Léraba et d’un partenaire allemand.

Tous ont invité cette femme de la bonne prise en charge de cet orphelinat.

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Le ministre des Infrastructures et du Désenclavement, Adama Luc SORGHO et l’ambassadeur du Japon, Masaaki KATO ont présidé ce jeudi 15 juin 2023, la première session de l’année du Comité technique d’orientation et de suivi (CTOS) du Projet de Développement des Capacités d’Entretien des Routes au Burkina (PDCER-BF).Ce projet vise à  Renforcer la capacité techniques des agents du ministère,

 Commentaire de Adama TRAORE

Le projet, né d’un accord de coopération technique entre le Gouvernement et la JICA vise à :

– Mettre en place une nouvelle stratégie d’entretien routier,

– Élaborer des guides techniques pour l’entretien et la gestion des routes bitumées.

– Renforcer la capacité  techniques des agents du ministère,

– Mettre en place une unité d’entretien et de gestion des routes avec, à  l’appui un don d’engins routiers.

Il est mis en œuvre par l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), à travers des experts japonais, logés au sein du MID, plus précisément à la Direction générale de l’entretien routier.

Une vue de la mobilisation des acteurs.

le Projet, après deux ans de mise en œuvre a déjà donné des résultats satisfaisants qui sont entre autres :

– Un voyage d’étude au Japon en 2022 ;

–  Des formations théoriques en salle en 2022 ;

–  l’acquisition d’équipements et de matériels légers d’entretien des routes ;

– Des formations théoriques et pratiques de production de bitume et l’application sur des nids de poules en 2023.

Le ministre SORGHO a donc  félicité tous les acteurs du PDCER-BF pour les acquis engrangés et a salué l’excellence et la vitalité de la Coopération et de l’amitié entre le Burkina Faso et le Japon.

Il a également exprimé sa reconnaissance pour l’accompagnement du Japon dans la réalisation d’infrastructures de désenclavement.

L’ambassadeur s’est dit satisfait du déroulement du projet et à réitéré la volonté de son pays à toujours accompagner le Burkina sur ses chantiers de développement.

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 L’administration des douanes a mis en place un système  pour lutter efficacement contre les tracasseries et les abus dans l’accomplissement des formalités en Douane . La cérémonie officielle de lancement des activités de ce nouveau dispositif est intervenue ce jeudi 15 juin 2023 à Ouagadougou, sous la présidence de Roland SOMDA, ministre des Transports, de la Mobilité Urbaine et de la Sécurité Routière et en présence de Mme Fatoumata BAKO/TRAORE, ministre délégué chargé du budget.

Adama TRAORE (Commentaire) 

L’OCOD-BF est un instrument de bonne gouvernance mis à la disposition des opérateurs économique qui permet de recueillir et d’analyser les plaintes des usagers, avec afin de contribuer à la suppression des tracasseries sur les différents corridors et de mettre fin aux goulots d’étranglement lors des opérations de dédouanement des marchandises.

Vue de la mobilisation des acteurs

L’OCOD-BF comprend 20 membres dont 10 du secteur privé et 10 de l’administration des douanes. Au cours de la cérémonie, le ministre en charge des Transports et madame le ministre délégué chargé du budget, ont procédé à l’installation officielle des membres de l’Observatoire.  Ils auront pour mission de veiller à la célérité des opérations de dédouanement, de s’assurer du respect des engagements pris par la douane et le secteur privé et de trouver des solutions aux blocages administratifs liés au dédouanement et à la circulation des marchandises.

Ph de famille des 20 membres

Ce nouveau joyau qu’est l’OCOD-BF se veut un outil pour améliorer le commerce transfrontalier par la facilitation des procédures administratives et l’amélioration du climat des affaires au Burkina Faso.

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