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A Banfora : l’ONG Italien Giovanni Al Centro forme 50 jeunes en entrepreneuriat

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Dans la matinée du Jeudi 20 Juillet 2023, la fondation Loui QUERBES a formé 50 jeunes de la commune de Banfora reçoivent deux semaines de formation en élevage de volaille locale, en culture maraichaire  et en agroalimentaire, sous la direction du Centre de Formations Louis QUERBES de Banfora.

Adama TRAORE

Recrutés dans le cadre du partenariat entre la commune de Banfora, au Burkina Faso et celle de Trino en Italie à travers le Projet Giovanni Al Centro ou jeune au centre, 50 jeunes de la commune de Banfora sont formés dans trois filières à savoir la filière transformation agroalimentaire, la filière élevage de volaille locale et la filière culture maraichère. Cette formation permettra de contribuer au bien-être des jeunes de la commune de Banfora en les mettant au centre du développement.

 Niveau actuel des modules dispensés et avis des formateurs sur le niveau des apprenants

A quelques jours de la fin de cette série de formations, Les formateurs se disent satisfaits du comportement et du niveau d’apprentissage des apprenants. Les modules sont presque terminés à en croire les formateurs. Monsieur SANOU, formateur en maraicher culture : « Nous sommes présentement au niveau de la formation pratique. Nous avons fait la formation sur au minimum 07 spéculations que sont le chou, la tomate, le poivron, l’oignon et comme vous le constatez on est sur le chou, la laitue, le haricot et le haricot vert. Nous avons presque fini la formation pratique et il reste pour aujourd’hui un module théorique que nous allons terminer… »

Dans la filière transformation agroalimentaire, c’est également le même constat et madame Adjara SAGNON formatrice en restauration cuisine rassure : « Nous sommes actuellement à la phase d’évaluation afin de voir les acquis car tous les modules ont été parcourus Durant les deux semaines de formation, nous avons constate l’engouement d’apprendre chez les apprenants. C’est très encourageant et c’est très motivant car cela montre qu’ils ont envies de faire quelques choses de leurs dix doigts. En général le niveau est bon… »

Le même son de cloche nous a été entendu au niveau de la filière élevage de volaille locale avec monsieur Elysée BAMA, formateur en élevage au Saint Viateur et pour lui c’est un grand honneur pour les jeunes de la commune de Banfora dans la mesure ou ces formations leur permettront de se faire non seulement de l’emploi mais également d’employer d’autres jeunes afin d’aider le Burkina Faso à atteindre l’autosuffisance alimentaire.Il termine sur ces mots de remerciements : « on remercie la Mairie de Banfora pour la sélection de ces jeunes que nous trouvons ambitieux… »

C’est avec grande satisfaction que ces formations des 50 jeunes se déroulent sous la direction du Centre de Formation Louis QUERBES de Banfora.

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Banfora :l’ONG Kamalpha renforce les compétences de ses acteurs en informatique

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L’ONG Kamalpha  a procédé une fois de plus à la formation de ses neuf formateurs en digitalisation informatique. La formation s’est déroulée du Lundi 17-Jeudi 20 Juillet 2023 dans la salle de réunion de l’Association Munyu des femmes de Banfora sous son propre initiative.

Adama TRAORE 

Après la formation de Février 2023, l’ONG KAMALPHA  a encore  réuni ses acteurs autours du même son de cloche: leur inculqué la digitalisation informatique. Ce sont neuf formateurs qui reçoivent des attestations dans les mains de l’ONG KAMALPHA après une formation sur la digitalisation. Lassina BAMBA est le président de l’ONG Kamalpha, en qualité de formateur à l’issu de cette mission de digitalisation informatique, il explique les objectifs de cette initiative « La scolarisation étant adossée au digital de nos jours met au banc de touche les adultes qui sont dans la production au bord des champ, dans les ateliers de menuiserie, dans les marchés…Au regard de la difficulté d’avoir des enseignants pour tout ce monde, nous avons décidé d’utiliser le numérique comme tremplin qui va remplacer l’encadreur pour que toute la population soit alphabétisée dans l’avenir… ».

Ph de Lassina BAMBA, président de l’ONG Kamalpha et formateur.

Se sont au total 9 jeunes venus d’horizons divers de la région des cascades qui ont été formés par l’ONG kamalpha et qui à leur tour seront chargés de retransmettre les connaissances acquises à d’autres personnes. Bamba Aboubacar Idriss est un bénéficiaire de cette formation. Il dit est très satisfait de ce qu’il a appris durant ces deux jours de formation : « Je suis stupéfait de cette formation qui nous a appris non seulement tout ce qui concerne l’informatique et surtout la pédagogie d’enseigner d’autres personnes qui ne sont jamais allés à l’école ou qui ne sont pas arrivés loin dans les études mais également à des personnes dites professionnels dans leur domaine d’activité mais qui n’ont pas la maitrise de l’outil informatique… » Parmi les formateurs en formation on pouvait compter des gens qui ne maitrisent eux aussi pas certaines notions en informatique ; cette formation a été une bonne occasion pour eux. Christine KOURAOGO fait partie de ces personnes. Elle exprime sa satisfaction pour cette formation : « Cette formation est la bienvenue pour moi parce que je ne maitrise pas trop l’outil informatique alors qu’au 21èmesiècle cela est un mal nécessaire. En voulant vulgariser cet outil, il faut que nous qui sommes les premiers acteurs nous soyons mieux outillées pour pouvoir transmettre ce savoir à d’autres personnes. Nos formateurs sont vraiment bien qualifiés car ils utilisent la manière appropriée pour nous transmettre ce savoir. Je pense vraiment qu’après cette formation nous serons à mesure de former d’autres personnes… ». Ces idées sont partagées par tous les participants.

Vue des participants à la formation

Tous sont unanimes que cette formation va être bénéfique pour les populations de la région des Cascades surtout le monde rural. Ils ont tenu à remercier cette initiative de l’ONG Kamalpha. Lassina BAMBA a pour sa part, demandé aux personnes formées d’avoir évidemment l’amour pour la transmission du savoir. Il demande également aux décideurs du Burkina Faso de croire en ce message de formation digital.

Ce type de formation professionnelle doit être vulgarisé dans les 13 régions du pays. Il est temps que les décideurs voient dans le digital un avantage plutôt qu’un luxe. Cette formation sur la digitalisation en informatique s’est achevée par la remise d’une attestation de participation a chaque participant.

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Banfora : La SNV  révise les  textes sur le pastoralisme transfrontalier

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L’ONG Neerlandaise a organisé un atelier régional de consolidation des projets de textes et la  règlementation du pastoralisme ou la gestion des ressources naturelles proposés par le Comité Communal de la délégation spéciale.La mise en oeuvre de ce projet a eu lieu  le du 18-20 Juillet 2023 à Banfora dans les cascades.  Les Echanges ont eu  lieu  dans la salle de réunion de la nouvelle Mairie sous la présidence du président de la délégation  de Banfora.

Par Adama TRAORE

  C’est suite aux activités, de Fevrier 2022, relatives à une concertation avec les acteurs impliqués dans le pastoralisme et l’exploitation des ressources naturelles sous le leadership de la commune de Banfora dans le cadre de l’accord de partenariat entre SNV Burkina et cette commune, non seulement   pour la mise en œuvre des actions complémentaires du projet d’amélioration de la mobilité du bétail et des revenus des agropasteurs pour l’utilisation de la téléphonie mobile et de l’image satellitaire mais également aux travaux du Comité Communal d’élaboration de projets de textes sur le pastoralisme et la gestion des ressources naturelles dans les Cascades.

Ph des participants à cet atelier

Cet atelier visait à apporter des amendements aux différents projets de textes proposés par le Comité Communal de rédaction en vue de leur consolidation ; recueillir les difficultés rencontrées, les bonnes pratiques ou leçons à tirer ainsi que les suggestions à prendre en compte dans le processus ; présenter les prochaines étapes importantes du processus d’élaboration et application des textes réglementaires sur le pastoralisme et la gestion des ressources naturelles au niveau de la région des Cascades

Pour le Gouverneur de la région des Cascades, cette activité est la bien venue.Car elle va concernée plus les domaine de l’élevage pour l’ensemble des collectivités territoriales au regard de son importance. Il l’exprime en ses teremes: « Il est important que pour jouer pleinement ce rôle qui est celui du développement du secteur de l’élevage dans les communes, les concertations avec les acteurs locaux intervenants dans ces domaines sont nécessaires. Ce qui permettra d’améliorer les revenus, la résilience et la sécurité alimentaire des populations pastorales et agropastorales dans un contexte de changements climatiques et de défis sécuritaires au Burkina Faso… »

Ph du Gouverneur des CASCADES

A la fin des travaux, les représentants de la SNV Burkina ont  tenu à remercier tous les participants pour la qualité des échanges qui ont été très impressionnantes comparativement à d’autres communes.

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CENOU : les premiers responsables finalisent leur budget

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Les premiers responsables et les acteurs de la chaine financière du CENOU finalisent budget exercice 2023 leur programme d’activités et le plan de passation des marchés. Les travaux de cet atelier ont débuté ce lundi 17-20 juillet 2023.C’est Bobo-Dioulasso qui a accueilli les travaux de ces journées. C’est Richard OUBDA Secrétaire général du CENOU qui a assuré la cérémonie d’ouverture.

Cathérine ZONGO

Pendant 72 heures,les acteurs du CENOU ont réfléchis sur le budget à mis-parcours.  Cette activité est une exigence pour les structures publiques car elle permet, à un moment donné de l’année budgétaire de réorienter les ressources, suivant les priorités du moment dans un souci d’objectivité et d’efficacité.  Richard OUBDA, Secrétaire général du CENOU   a  fait savoir lors de cet atelier que ce n’est ni le lieu, ni le moment d’évoquer des nouveaux besoins. Ce d’autant que le CENOU n’a pas bénéficié de nouvelles subventions pour les six prochains mois, a-t-il fait savoir Richard OUBDA lors de son allocution.

Ph des participants lors de cet atelier

Il a également  fait savoir lors de cet atelier que les projets et Programme d’Activités seront soumis à l’approbation du Conseil d’Administration avant d’être utilisés comme un guide pour mieux amorcer le deuxième semestre de l’année afin d’atteindre efficacement les objectifs fixés  du CENOU au soir du 31/12/2023.

Pour clore son discours il a   invité les participants à plus d’attention et d’assiduité dans les travaux d’élaboration du document de la revue à mi-parcours.

Les travaux de cette revue à mi-parcours avaient déjà été entamés par les financiers à  Ouagadougou.

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  Bobo-Dioulasso : Oumar YODA   fait  ses preuves  dans la préparation du thé à Sikasso-Sira

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Le thé est une boisson préparée par infusion des feuilles séchées du théier, les arbustes à feuilles persistantes. Aimer et consommer dans le monde entier. Oumar Yoda, très passionné, il prépare et vend le thé dans le quartier Cikasso-Sira non loin du grand marché de  Bobo-Dioulasso. Il a accordé une interview  à notre équipe  Jeune reporter.net, le 17 juillet 2023 dans son lieu de vente. Les échanges ont  concerné son activité.

Cathérine ZONGO

Oumar YODA est un vendeur professionnel de thé que nous avions rencontré lors de notre passage à Sikassso-Sira. Les échanges ont aussitôt commencé avec cet ancien retraité de la place.

Le thé est une boisson consommer par la plupart des jeunes et  préparé autour d’un grain. Tout a commencé  chez Oumar YODA vers les années 2002, lorsque j’étais sans emploi, explique-t-il. Étant à la retraite, Oumard Yoda prépare du thé afin de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille. Résident à Bobo-Dioulasso. Il en ai  fait de cette activité son gagne-pain quotidien. Arrêté dans son kiosque, sa main sur sa table,  il explique qu’il l’exerce cette activité depuis 2002 et ses employés son ses enfants car ses derniers sont diplômés mais sans emploi, a-t- il indiqué. A en croire Monsieur YODA, il a  débuté cette activée grâce aux soutiens de ses amis et autres sympathisants.

Chez YODA ,un verre de thé coute 50 francs CFA et c’est plus d’une centaine de clients qu’il reçoit par jour dans son kiosque de thé. Toujours selon Oumar YODA, Chaque jour, il obtient une somme de 20 000 à 25 000 francs CFA.

Avec la situation actuelle,  Oumar Yoda explique qu’il fait face à certaines difficultés qui sont  l’augmentation du prix du sucre et du thé.  Face à cette situation, il essaie de faire de son mieux pour satisfaire sa clientèle. Il encourage les jeunes à toujours exercer  un métier car seul  le travail paie.

Un client qui fréquente le thé de chez Oumar YODA pendant 15 ans que nous avons aperçu, il se nomme  Abdoulay Sanou. Il siffle le thé presque tous les jours chez le Fakir Oumar YODA. Selon ses dires, il est l’un des clients fidèles du Sieu YODA. Le thé du sieu YODA est de très bonne qualité et les alentours de son lieu de vente est vraiment hygiénique, dixit Oumar SANOU.

Ph Abdoulay Sanou, client fidèle de Oumar YODA

Oumar Yoda remercie et encourage le capitaine Ibrahim Traoré,  les FDS, les VDP pour leur combat dans le retour de la paix au Burkina Faso. Il  profite du micro demandé auprès des dirigeants du pays, de réduire les taxes et faciliter l’accès à la subvention afin qu’ils puissent en bénéficier. Il a par ailleurs, invite la population de la ville de Bobo-Dioulasso à venir goûter son « thé- support Fairplay ».

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Bobo-Dioulasso: 500 boîtes de lait Offertes a l’hôpital Souro Sanou

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La 2e édition de la journée promotionnelle du lait de la région des hauts-bassins se tient deu 18 au 20 Juillet 2023 .Le lancement  a été faite dans la matinée du mardi 18 juillet 2023 à la place Tiéfo Amoro. La cérémonie a été présidée par le représentant du Gouverneur de la région des Hauts-Bassins, Idrissa Gansoré, secrétaire Générale de la région du Houet.

Cathérine ZONGO

« Valorisation du lait local, défis et perspective pour l’alimentation des populations rurales et urbaine dans la région des Hauts-Bassins », tel est le thème choisi lors de la 2e édition de la journée promotionnelle du lait des Hauts-Bassins. C’est dans le souci de valoriser les produits laitiers de la région, que la 2è session des journées promotionnelle a connu succès.
Ont pris part à cette 2ème édition, les acteurs du lait que sont : les producteurs, les transformateurs et même les consommateurs. Pour le comité d’organisation, cette activité viendra résoudre le problème du chômage des jeunes. Ces journées sont donc un cadre de promotion par excellence du lait local, mais aussi des réflexions pour trouver des solutions qui minent cette filière. Durant ces deux jours, il sera question de panel sur des thématiques en lien avec la filière lait, les expositions des produits laitiers. Ces expositions seront sanctionnées par la remise des attestions au plus méritant.

Hamado Rimouaogodo Ouédraogo est le coordonnateur national du PDPS Burkina. Cette coordination ou il est le premier responsable, a accompagné la filière lait afin de promouvoir la consommation des produits transformés à base du lait. Cette même corporation a pu mener certaines actions. Ce sont entre autres, les renforcements des capacités des transformateurs des produits laitiers, l’accès au lait, l’octroi des matériels de transformation et surtout des produits de semence pour insémination des vaches afin de faciliter la production.

Ph de Hamado Rimouaogodo Ouédraogo, coordonnateur national de PDPS

Nour Al-Ayatt Ouedraogo est le président de l’inter-profession de la filière lait du Burkina Faso. Pour lui, cette 2é édition des produits laitiers doit être à la portée de tous. Les produits laitiers en exposition à la place Tiéfo Amoro sont essentiellement naturels, a-t-il fait savoir Nour Al-Ayatt Ouédraogo lors de son allocution. Il a par ailleurs reconnaître les efforts du CHU Sourou SANOU pour son acte de solidarité à l’endroit des enfants vulnérable.

 

ph de la visite des stand avec les responsables de la région

A l’issue de cette cérémonie, 500 boîtes de lait ont été offertes par le Président de l’inter- profession de la filière lait du Burkina à l’Hôpital Souro sanou de Bobo-Dioulasso. La cérémonie a pris fin par une visite de stand et la foire se poursuit jusqu’au 20 juillet 2023 à la place Tiéfo Amoro de Bobo-Dioulasso.

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Communiqué: La Société des Mines de Sanbrado (SOMISA SA) recherche des candidatures

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La Société des Mines de Sanbrado (SOMISA SA) recherche des candidatures pour les postes suivants :

Conditions Communes à tous les postes

Savoir lire et écrire le français ;Etre de nationalité burkinabé ;Pouvoir travailler de nuit, les dimanches et jour féries en rotation ;Poste basés sur le site minier de SOMISA SA dans la commune de Boudry

Département Logistique

POSTE1: CONTRÔLEUR INVENTAIRE (01)

Diplôme BAC+2 minimum en gestion des approvisionnement, logistique, gestion commerciale ;Expérience minimum de 03 ans en chaine d’approvisionnement / logistique dont 01 an en supervision d’entrepôt / magasin Bonne maitrise de la langue anglaise

POSTE 2:SUPERVISEUR ENTREPÔT (01)

Diplôme BAC+2 minimum en gestion des approvisionnement, logistique, gestion commerciale ;Expérience minimum de 03 ans en chaine d’approvisionnement / logistique dont 01 an en supervision ;Bonne maitrise de la langue anglaise

POSTE 3: SURINTENDANT ENTREPÔT (01)

Diplôme BAC+3 minimum en gestion des approvisionnement, logistique, gestion commerciale ;Expérience minimum de 07 ans en chaine d’approvisionnement / logistique dont 02 ans en supervision ;Bonne maitrise de la langue anglaise

 

Département Mine

POSTE 4: ADMINISTRATEUR BASE DE DONNÉES ET SIG (01)

Bac+3 minimum en Géologie, Géographie, Sciences de la Terre ;Expérience de 05 ans minimum en Géologie ;Bonne maitrise de la langue anglaise

Département Développement Durable

POSTE 5: COORDONNATEUR_ENVIRONNEMENT (01)

Bac+3 minimum en Environnement, Géosciences, Sciences de la terre ;Expérience de 05 ans en gestion d’impact environnemental, en surveillance, en analyse de données et rédaction de rapports dans le cadre d’une exploitation minière industrielle ;Maitrise avancée de la langue anglaise ;Permis de conduire valide ;

Département A dministration

POSTE 6: ADJOINT CHEF DE CAMP (01)

Niveau bac minimum, formation/certification en hôtellerie. Expérience de 07 ans dans le domaine de l’hôtellerie /hébergement collectif dont 05 ans en supervision d’équipe ;Bonne maitrise de l’anglais (lu, écrit et parlé) exigée ;Permis de conduire B ;Connaissance de l’outils informatique.

Les dossiers de candidature devront être déposés à la mairie de la commune de Boudry au bureau dédié à cet effet du 24 au 27 juillet 2023 (inclus) de 8h à 11h.

La réception des dossiers se fera par un représentant de SOMISA SA .

COMPOSITION DES DOSSIERS

Les dossiers de candidature devront indispensablement contenir les documents suivants :

Une copie légalisée de la CNIB ;Un cv à jour accompagné d’une demande manuscrite adressée à la direction des ressources humaines de SOMISA SA en spécifiant pour quel poste la candidature est déposé. Les candidats issus de la province du Ganzourgou devront le mentionner et également préciser leur commune ;Une copie de l’extrait de naissance ;Copie légalisée des permis de conduire pour les postes les exigeant ;Copie légalisée de tout certificat, diplôme, attestation de formation pertinent(e).

Les entretiens de sélections et prises de postes se feront progressivement au cours des 3èmes et 4ème trimestres 2023.

Important : seul les candidats retenus pour un seront contactés.

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Conflit communautaire à Tchériba : le Gouverneur de la Boucle du Mouhoun rend visite aux blessés

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Le Gouverneur de la région de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga  accompagné de son  Sécretaire Générale, du Président par intérim de la Délégation Spéciale Communale de Tchériba et des autorités sanitaires se sont  rendus au chevet des blessés du conflit communautaire survenu en fin d’après-midi du Samedi 15 juillet 2023 dans la commune rurale de Tchériba suite à une attaque d’hommes armés, afin de s’enquérir de leur état de santé.

DCRP-Gouvernorat pour jeune reporter

 En rappel, le samedi15 juillet 2023, suite à une attaque d’hommes armés, les populations du village de Oualou se sont pris à des familles causant des morts et blessés dont une partie est prise en charge au Centre Hospitalier Régional (CHR) de Dédougou.

Suite à ce drame , le Gouverneur Babo Pierre Bassinga  a envoyé une mission sur le terrain afin de s’enquérir de la situation et inviter les différentes parties au calme et à la retenue. Après avoir constaté l’évolution de leur Etat de santé, le gouverneur de la Boucle du Mouhoun, Babo Pierre Bassinga se réjoui de l’évolution positive de leur état de santé. Il leur a souhaité  prompt rétablissement.

Il a saisi cette même occasion pour féliciter le Directeur Général du CHR de Dédougou, le personnel soignant pour leurs efforts dans la prise en  charge des blessés du drame.

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Catholic Relief Services (CRS) outille ses facilitateurs dans les villages de la commune de Banfora

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 Catholic Relief Services (CRS) à travers le projet JI-SANIYANI en collaboration avec L’OCADES a initié un atelier de formation des facilitateurs sur la mise en œuvre de l’approche d’Assainissement Total Piloté par les Communautés (ATPC) dans 13 villages de la commune de Banfora, dans les Cascades. Les travaux se sont déroulés du 12 au 16 Juillet 2023 dans la salle de réunion de l’ancienne mairie de Banfora accompagné des sorties terrains dans les villages de Karfiguela et de Kitobama.

Par Adama TRAORE

Initiée par Catholic Relief Services (CRS) à travers le projet JI-SANIYANI en collaboration avec L’OCADES cette activité avait pour but global de Renforcer les capacités des acteurs WASH et partenaires   mise en œuvre de l’ATPC (Assainissement Total Piloté par les Communautés) afin de faire d’eux des facilitateurs auprès de ces communautés.


Vue de la mobilisation à cet atelier.

Durant 05 jours, les participants à cet atelier composés des acteurs de l’éducation, de l’environnement, de la santé, de la Préfecture, du Haut-Commissariat, de la Direction Régionale de l’Eau et de l’Assainissement et de la mairie ont été outillés sur l’ensemble des modules de l’ATPC selon les formateurs, Madame TRAORE née SIRIMA Aminata, Sociologue à la Direction Générale de l’Assainissement et monsieur Ousmana OUEDRAOGO de la direction régionale de l’eau et de l’assainissement. Il s’agit notamment de la présentation du projet, la présentation des objectifs de la session et le rapprochement avec les attentes exprimées , la situation de l’assainissement au Burkina Faso, dans les cascades et dans la commune de Banfora, les limites des projets d’assainissements antérieurs,  les généralités de l’ATPC , le rôle et la responsabilité au sein des groupes, les astuces du déclenchement, les attitudes et les comportements à éviter, les conditions de mise en œuvre de l’ATPC , le rôle des médias et des leaders naturels, l’élaboration des plans d’action ATPC , le suivi post déclenchement, et la simulation d’un déclenchement. En plus des modules de formation déroulés, des sorties sur deux sites à savoir Karfiguela et Kitobama ont été effectuées afin de déclencher lesdites communautés pour leur faire comprendre les conséquences de la défécation à l’air libre, dans le but de susciter en eux le dégoût et la honte de cette pratique et de s’engager pour un changement.

Selon  Madame TRAORE, Formatrice de cet atelier, le choix des acteurs ne s’est pas fait au hasard elle l’explique en ces termes : « Le choix de ces acteurs ne s’est pas fait de manière fortuite ; Nous parlons de l’hygiène et de l’assainissement et cela prend en compte plusieurs d’autres domaines à savoir la santé, l’environnement, l’éducation aussi bien que l’eau et tout cela ne peut pas se faire sans l’implication des collectivités, représentées par la commune, la préfecture et le Haut-Commissariat : c’est ce qui explique notre choix sur ces différentes structures pour l’atteinte de nos objectifs… ».

Ph de Madame TRAORE / Formatrice

Dans la même dynamique des acteurs formés, Madame TRAORE n’a pas manqué de leur faire savoir que l’Assainissement Total Porté par les Communautés est possible mais seulement qu’avec leur implication : « L’ATPC n’est possible qu’avec l’ensemble des acteurs. Chacun de son côté doit y mettre du sien pour accompagner les communautés que nous devons déclencher dans l’atteintes des différents objectifs qu’ils auront à inscrire dans leurs plans d’action… ».

Aux communautés, elle les exhorte à mettre en œuvre les actions qu’ils ont inscrites dans leurs plans d’action et en cas de difficultés qu’elles prennent attaches avec les services techniques pour demander des orientations.

Cette formation devra permettre à court, moyen ou long terme de mettre fin à la défécation l’air libre dans les 13 villages concernés par le projet avec la construction, l’utilisation et l’entretien des latrines par les communautés elles-mêmes.

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