Par  Adama TRAORE

Objectifs de l’Association

Créée le 22 février 2020 et reconnue officiellement par les autorités compétentes en la matière au Burkina Faso depuis le 16 avril 2021, l’Association Tout pour l’Enfant est à but non lucratif et poursuit les objectifs suivants :

Œuvrer pour la protection des enfants défavorisés ;

Sensibiliser les couches sociales à la nécessité de prendre au sérieux l’éducation civique des enfants ;

Militer pour l’insertion sociale des enfants laissés pour compte.

Cette Association est orientée vers les enfants de 0 à 15 ans voire 18 ans.

Vue des membres du bureau de ladite association.

Composition du bureau

Le bureau actuel de l’Association Tout pour l’Enfant est composée de 08 Membres dont 07 hommes et 01 femme à savoir :

01 Président Monsieur ;Issouf SANA

01 Vice-Président Monsieur ; Seydou CISSE

01 Secrétaire General Monsieur Souleymane OUEDRAOGO

01 Secrétaire General Adjoint Monsieur Abdoul Fataph OUEDRAOGO

01 Trésorier Monsieur Rodolphe V. SOME

01 Trésorier Adjoint Madame Siata SAGNON

01 Charge de Communication Monsieur Moussa SIDIBE

01 Charge de Communication Adjoint Monsieur Ba Drissa OUATTARA.

Ce bureau est renouvelable tous les cinq (05) ans.

Fonctionnement de l’Association Tout pour l’Enfant

Cette Association fonctionnera sur la base des cotisations des membres qui s’élèvent à 10.000 FCFA par an et par personne. L’adhésion à l’Association est conditionnée par le paiement de 5.000 FCFA.

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Par Sosthène SOMBIE

On lisait sur le visage des élèves venus pour la composition à l’école Colma I, une tristesse indéfinie dès l’ouverture de la première enveloppe par le Haut-commissaire de la province du Houet, Adama Bidiga.

          Vue des élèves lors de l’ouverture de la première enveloppe.

Ce mardi 6 juin 2023, marque le top départ des épreuves écrites du Certificat d’études primaires (CEP). Cette année bon nombre de candidat sont présents dans la salle pour décrocher leur premier diplôme.

Adama BIDIGA, Haut-Commissaire du Houet

Et, selon le Directeur régional des enseignements préscolaires, primaires et non formels de la région des Hauts-Bassins, Zakary Zouré, pour cette session de 2023, au total, 53 090 candidats sont partis à la conquête du CEP 2023, dans la région. Comme les autres années le nombre de filles prédomine. En effet, parmi les candidats, 28 693 sont des filles et 24 397 sont des garçons. Ces 53 090 candidats sont répartis en 37 jurys dans le Houet, le Kénédougou et le Tuy.

Le rôle des FDS

Selon le Directeur  régional,  la tenue de cette session a été possible grâce au travail acharné de l’ensemble des collaborateurs et des partenaires du ministère de l’éducation.  » J’adresse mes sincères  remerciements à tous nos partenaires,  notamment les forces de défense et de sécurité qui nous ont été d’un grand soutien pour la tenue de cet examen.  Aujourd’hui, tout est fin prêt grâce aux forces de l’ordre « , affirme-t-il. Pour ce qui est des élèves déplacés internes de la région, le Directeur régional rassure.  » Nous avons plusieurs catégories de personnes déplacées internes dans notre région. Mais nous nous les appelons des élèves déplacés internes.  Nous pouvons rassurer. Ils bénéficient d’une prise en charge alimentaire. Les partenaires  sont beaucoup intervenus pour alimenter, vêtir et préparer les enfants afin qu’ils prennent part aux examens « , précise M. Zouré.

Un défi à relever

Depuis le début des préparatifs jusqu’au lancement, Zakary Zouré rassure qu’aucun problème n’a été enregistré.  » Tout se passe bien,  et comme précisé tantôt, ce mérite revient aux FDS. Mais il faut noter que nous avons huit centre délocalisés« , indique le Directeur. Pour le Haut-commissaire de la province du Houet, Adama Bidiga, cette  visite est une marque de soutien et d’encouragement aux candidats pour ce premier examen scolaire. Il souhaite par ailleurs que les candidats fassent preuve de concentration afin de décrocher avec brio leur premier diplôme. Les élèves à l’unanimité ont décidé de donner le meilleur d’eux-mêmes pour relever le défi.

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Judicael S.SOMBIE( son et image KAMBIRE)

Cette deuxième session du Conseil de Département a permis d’examiner les activités du mois de mai des différents programmes budgétaires du ministère et d’échanger sur comment mieux coordonner l’exécution des activités programmées pour le mois de juin.

Le Conseil a également validé le rapport d’évaluation des projets et programmes du Département, ainsi que la méthodologie de l’enquête nationale de suivi du troupeau. Le Conseil de Département, a aussi dressé le bilan du Plan opérationnel d’appui à la campagne agricole de saison sèche et pris connaissance du nouveau statut du Centre de Promotion de l’Aviculture Villageoise (CPAVI) érigé en Etablissement Publique de l’Etat.

Vue des participants à la session

Le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, Dr Dénis OUEDRAOGO, a invité l’ensemble des acteurs à changer de paradigme en mettant en avant le professionnalisme, la loyauté, l’intégrité et surtout la collaboration pour lever tout goulot d’étranglement en vue de meilleurs résultats.

En outre, il a invité les responsables de projets à travailler davantage pour obtenir dans les meilleurs délais les avis de non objection afin d’améliorer les taux de décaissement pour accélérer les travaux sur le terrain.

Le Conseil de Département est une instance du ministère de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, instituée pour examiner les questions fondamentales du Département. Il se tient chaque premier lundi du mois, après la monté des couleurs nationales, et vise à assurer une meilleure coordination des plannings opérationnels des activités des différentes structures du ministère.

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DCRP  Nacoulma  pour  jeune reporter

Face aux journalistes, il a indiqué que le nouveau timbre a été institué dans la perspective de la dématérialisation du timbre fiscal et pour mettre fin aux difficultés d’approvisionnement dues à la diminution des stocks. Ainsi, a-t-il expliqué, le nouveau timbre fiscal de format réduit pour parer aux problèmes d’espace sur certains documents et autocollant comprend des éléments numériques qui permettent de le tracer, de suivre l’évolution du stock, des commandes, des ventes.

Aussi, a précisé le Directeur général des impôts, le nouveau timbre est revêtu des couleurs nationales, des armoiries du Burkina Faso, de la valeur faciale de 200 F C FA, du monument des héros nationaux, du QR code et d’une empreinte d’authentification. Il a souligné que le changement a commencé par le timbre de 200 F CFA et s’étendra progressivement aux autres quotités dont les stocks sont toujours disponibles.

Ph du nouveau timbre fiscal

Le nouveau timbre fiscal est-t-il fabriqué au Burkina Faso ? Pourquoi les timbres manquaient dans les structures publiques de vente alors que des revendeurs en disposaient et faisaient de la surenchère ?

En réponse à la première question des journalistes, le colonel OUOBA, le premier responsable de la Direction générale des affaires immobilières et de l’équipement de l’Etat en charge de la commande de l’ensemble des imprimés et des valeurs inactives de l’Etat dont le timbre fiscal, a soutenu que le nouveau timbre fiscal est imprimé en France. « Notre objectif était d’avoir des timbres made in Burkina.  Nous avons fait appel à quelques imprimeries qui ont un niveau de sécurité assez élevé. Elles ont produit des spécimens tout aussi valables que ceux produits à l’étranger. Malheureusement, les timbres produits localement sont plus chers que ceux importés. Pour maintenir les prix actuels, nous avons dû recourir à un prestataire à l’extérieur notamment en France », a-t-il développé. Toutefois, il a rassuré que dans l’accord cadre d’un an signé avec le prestataire, il lui est exigé de s’implanter au Burkina Faso au plus tard le 31 décembre 2023 à travers une entreprise de droit national pour la production des timbres sur le territoire burkinabè.

Quant à la deuxième question, le Directeur général des impôts, monsieur Daouda KIARKOYA a répondu que la surenchère sur les timbres fiscaux est illégale. Il a déclaré que la surenchère prendra fin avec la digitalisation des timbres en cours. En attendant, il a rassuré que la DGI prendra des dispositions dans son mécanisme de distribution pour contrer le fléau..

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