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Fête de TABASKI: les prix des béliers en hausse considérable.

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A quelques jours de la TABASKI c’est-à -dire le 24 Juin 2023, le journal jeune reporter.net est descendu dans le marché à bétail de la ville de Bobo-Dioulasso sise à Niénéta à l’abattoir  du grand marché de Bobo-Dioulasso, les acheteurs et les vendeurs de moutons déplorent la flambée des prix. La cause serait  entre la  crise sécuritaire.

Adama TRAORE

Les béliers entassés par ci et par là,au marché de bétail de NIENETA. Disons-nous que c’est site qui abrite les vendeurs de bétails de la ville de Sya.

En ces trois jours de fêtes de tabaski, les acheteurs sont tout de même relativement persuadés de ne pas faire de bonnes affaires cette année. A cause de la flambée des prix.« Les moutons que nous achetions  dans les années antérieures à 75 et 90 000F CFA coûtent  respectivement à présent entre 150.000 et 180.000F CFA », a-t-il fait comprendre un acheteur de mouton à la veille de la fête de la Tabaski.

 

« Les grands commerçants de bétails qui  venaient acheté les gros moutons ne viennent plus. Semble-t-il que le coronavirus en est la cause. Nous sommes découragés et nous n’avons rien. Nous voulons profiter de cette fête pour se faire un peu de business », nous a justifié, Moussa Ouédraogo, un commerçant de mouton au marché de bétail de Niéneta.

A côté, notre équipe de la rédaction a rencontré a aussi rencontré  Issouf Sanou, un des acheteurs du Mouton. Quand nous  lui avons approché, il nous a fait savoir :« Ceux qui vienne dans les grosses véhicules se plaignent  pour la flambé des prix. Ceux qui n’en disposent pas, comme nous, Ouvrier qu’allons-nous dire ? »

Certains fidèles musulmans du quartier ont même  contracté des prêts scolaires  en Banque pour s’approprier du bélier  pour la fête de la Tabaski.

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Banfora : les  autorités locales et les représentants de la Société Civile échangent  autour de la problématique de lutte contre le terrorisme.  

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Du jeudi 22 au vendredi 23 juin 2023, la Police Municipale, les autorités locales et les Organisations de la Société Civile, de la Commune de Banfora ont échangé sur les questions sécuritaires afin de lutter efficacement contre l’insécurité dans la commune.

Adama TRAORE

 

Cette activité s’inscrit dans l’un des objectifs opérationnels de la Direction Générale des Collectivités Territoriales (DGCT) qui est d’offrir des services publics locaux de qualité et accessible. Elle est destinée non seulement à renforcer la capacité des Policiers Municipaux dans la gestion de l’insécurité urbaine, mais aussi de recueillir les points de vue, les propositions et établir un réseautage avec les OSC afin de renforcer la collaboration dans le cadre du partenariat Police Municipale-Population. Toute chose qui permettra de lutte efficacement contre l’insécurité urbaine en ces temps de terrorisme.

                         Vue des participants lors de l’atelier.

Présent à cet atelier, le 2ème Vice-Président, Fréderic HEMA, représentant le Président de la Délégation Spéciale Communale de Banfora a rappelé que : « la problématique de la sécurité est transversale et pour venir à bout de l’insécurité, il faut une implication de toutes les couches sociales de société. Il nous faut donc aller à une coproduction de la sécurité. Cette coproduction de la sécurité implique que les forces de sécurité et les populations collaborent pour venir à bout de l’insécurité. Dans ce sens, les forces de sécurité doivent désormais retenir qu’elles ne peuvent pas à elles seules venir à bout de l’insécurité. Egalement les populations à elles seules ne peuvent pas lutter contre l’insécurité. C’est ainsi que le rapprochement et la collaboration sont des comportements à encourager …)

Ph de famille des participants

L’un des grands défis des Forces de Sécurité est de travailler à changer l’image négative qu’a la population à leur égard pour être des Forces de Sécurité citoyennes, c’est-à-dire proche des populations et n’œuvrer que pour la pleine satisfaction de celles-ci.

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Les acteurs des  médias et les Structures déconcentrées de  Banfora veulent collaborés.

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La Direction régionale de la communication de la région des cascades avec à sa tète Ousmane TRAORE a initié un atelier le Jeudi 22 Juin 2023 dans la salle de réunion du Haut-Commissariat. L’objectif de cet atelier est de faire en sorte que homme de médias et journalistes collaborent mutuellement.

Par Adama TRAORE

Les travaux ont eu lieu le jeudi 22 juin 2023 dans la salle de réunion du Haut-commissariat de Banfora sous l’initiative de la Direction Régionale de la communication des Cascades dirigée par Ousmane TRAORE. Cette activité est placée sous la présidence du Gouverneur des Cascades représenté par Monsieur  Mamadou TRAORE Conseiller Technique.

Vue de la mobilisation des acteurs

L’objectif de cet atelier est d’amener les Structures Déconcentrées à associer les médias de la région dans leurs activités de communication. Précisément il s’agissait d’encourager la mise en place des services de communications au sein des structures déconcentrées, de décliner les techniques de communication digitale, de relever l’importance des couvertures médiatiques des activités par la presse régionale.

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La commune de Banfora évalue ses capacités organisationnelles et l’efficacité à travers l’initiative du Projet Gouvernance Inclusive pour la Résilience (GIR).  

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S’est tenue du lundi 19 au mercredi 21 juin 2023 dans la salle de conférence de la mairie de Banfora, l’évaluation des capacités organisationnelle. La conférence a eu lieu en présence de la 1ere Vice-Présidente Fatoumata KARAMA représentant le Président de la Délégation Spéciale Communale, Yakouba BARRO.

Adama TRAORE

 

L’objectif de ces travaux est de contribuer à améliorer l’efficacité de la mairie de Banfora à fournir des services aux populations de la Commune.

Des membres de la Délégation Spéciale Communale de Banfora, plusieurs directions et services des Organisations de la Société Civiles, étaient invités à cette concertation, combien importante pour la commune de Banfora que pour la population de la commune de Banfora.

Vue des participants

Tous étaient inanime qu’il fallait cette conférence afin d’évaluer les capacités organisationnelles et l’efficacité de la mairie de Banfora à fournir les services aux populations à travers l’outil OEMT à l’initiative du Projet Gouvernance Inclusive pour la Résilience (GIR).

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Le HCRUN tend vers sa dissolution

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Lors du conseil des ministres de ce mercredi 21 Juin 2023,le gouvernement a adopté un projet de loi portant dissolution du Haut Conseil pour la réconciliation et l’Unité Nationale(HCRUN).

La dissolution de cette institution va permettre la gestion efficace de son patrimoine, de son personnel et des dossiers traités ou en cours de traitement à ce que les ministres concernés s’instruits davantage.

Alors quel ministère a la compétence technique pour connaitre techniquement ces dossiers ?

Judicael S.ZONGO/Commentaire

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SENAC-UB à Bobo : 26 universités du Burkina Faso démontrent leurs talents en sport et en culture.

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Les premières compétitions de la 5ème édition de la SENAC-UB se sont déroulées à la maison de la culture Mgr Titana Anselme SANOU. Les compétitions ont débuté ce mardi 20 juin 2023 et se poursuivrent.Le lancement a été faite par le Pr Noël THIOMBIANO, Directeur général du Centre National des Œuvres Universitaires (CENOU)

Par Judicael S.SOMBIE

<< Sport et culture : cadre d’engagement citoyen de l’étudiant dans l’édification de la paix au Burkina Faso >>, c’est sous ce thème que se tient les Semaine Nationale des Arts et de la Culture des universités du Burkina. Pour le Pr Noël THIOMBIANO ce choix n’est pas fortuit car il rentre en droite ligne dans la promotion de la paix au Burkina Faso. Pour lui, cette activité qui va réunir plus de neuf cent étudiants est un cadre de brassage d’ethnies, de partage de connaissances et surtout de cohésion sociale. C’est dans ce sens qu’il a, avant de terminer son allocution, invité tous les compétiteurs à faire preuve de fair-play pendant les cinq jours que dureront ces activités.

Vue des participants à la SENAC-UB

Toutes les 26 universités présentes ont pu compétir ce jour en orchestre, vedette moderne et en slam.

La suite de la compétition continue en sport football et la lutte traditionnelle…à la cité 1008 lits de l’université Nazi Boni…

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Alassane OUATTARA, président de la république de Côte d’Ivoire  

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Alassane Dramane Ouattara, souvent désigné sous ses initiales « ADO », né le 1er janvier 1942 à Dimbokro, en Côte d’Ivoire, est un homme d’État ivoirien. Il est président de la république de Côte d’Ivoire depuis le 6 mai 2011.

Économiste de profession ayant notamment travaillé au FMI, il est le premier à exercer la fonction de Premier ministre de Côte d’Ivoire, de 1990 à 1993, une période pendant laquelle il assainit les finances publiques du pays et relance l’économie au prix d’une politique de rigueur budgétaire. Il est élu en 1999 à la tête du Rassemblement des républicains (RDR), mais ne peut se présenter aux élections présidentielles de 1995 et 2000 à cause d’une modification du code électoral introduisant une clause d’« ivoirité ».

 

Candidat à l’élection présidentielle de 2010, il est élu président de la République avec 54 % des suffrages exprimés selon la Commission électorale indépendante et la quasi-totalité de la communauté internationale. Il exerce pleinement ses fonctions de chef d’État après l’arrestation par ses partisans du président sortant, Laurent Gbagbo, qui estimait avoir remporté le scrutin et refusait de quitter le pouvoir.

Après cette grave crise politique, il conduit une politique libérale et interventionniste relançant la croissance économique. Son administration investit notamment dans la réhabilitation d’infrastructures et encourage les investissements dans le pays. Alassane Ouattara est cependant critiqué pour sa gestion de l’armée et de la justice, accusées de perpétrer des exactions contre des proches de son prédécesseur et de se livrer à une « justice des vainqueurs ». La corruption reste par ailleurs importante.

Après avoir été réélu au premier tour de l’élection présidentielle de 2015 avec 84 % des voix, il annonce ne pas vouloir briguer un troisième mandat. Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly est ainsi désigné candidat de la majorité présidentielle à l’élection présidentielle de 2020 mais meurt peu de temps avant celle-ci. Alassane Ouattara revient alors sur sa décision de quitter le pouvoir et l’emporte largement à l’issue d’un scrutin boycotté par l’opposition, réunissant 95 % des suffrages au premier tour. Après les élections législatives de l’année suivante, auxquelles l’opposition accepte de participer, il conserve sa majorité à l’Assemblée nationale.

Origines et vie familiale

Alassane Ouattara est musulman d’ethnie mandingue1.

 

Il est le fils de Dramane Ouattara, enseignant et commerçant prospère, et de Hadja Nabintou Ouattara (née Cissé). Il descend de l’empereur Sékou Oumar Ouattara (1665-1745), premier roi de la dynastie des Ouattara de l’empire Kong, à cheval sur les actuels Mali, Ghana, Burkina Faso et Côte d’Ivoire2,3.

Il est père de deux enfants, issus d’un premier mariage avec l’Américaine Barbara Jean Davis : David Dramane Ouattara et Fanta Catherine Ouattara.

En 1985, il rencontre Dominique Nouvian, femme d’affaires qui gère notamment les propriétés immobilières du président Félix Houphouët-Boigny et de son homologue gabonais, Omar Bongo, au sein du groupe Aici. Il l’épouse le 24 août 1991, à la mairie du XVIe arrondissement de Paris, entouré d’amis de longue date tels que Jean-Christophe Mitterrand et Martin Bouygues4,5,6. De confession chrétienne, Dominique Nouvian a eu deux enfants d’un précédent mariage7,8.

Alassane Ouattara a un frère cadet, Téné Birahima Ouattara. Membre influent du RDR, celui-ci est élu maire de Kong en 2013, puis président du conseil régional du Tchologo en 2018. Il est ministre des Affaires présidentielles et s’occupe en particulier des services de renseignement et de la sécurité9. En mars 2021, Alassane Ouattara le nomme ministre de la Défense par intérim en remplacement d’Hamed Bakayoko10.

Il a également un frère aîné, Gaoussou Ouattara, cadre du PDCI puis fondateur du RDR, qui est maire de Kong de 1995 à 201311, et une sœur, Aïssiata Ouattara, devenue maire de Gbeleban, le village de leur mère situé dans le Nord-Ouest11. Sa nièce, Nina Keïta, fille de Aïssata Ouattara, est la directrice générale adjointe de la Gestoci.

Carrière d’économiste

Inscrit à l’Institut de technologie de Drexel puis à l’université de Pennsylvanie grâce à l’obtention d’une bourse, il obtient en 1967 un master en économie. Entré en tant qu’économiste au Fonds monétaire international (FMI) l’année suivante, il poursuit ses études et obtient un doctorat d’État en sciences économiques en 1972.

Un an plus tard, il intègre la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), dont il est vice-gouverneur de 1983 à 1984. Il retourne ensuite au FMI pour y occuper les fonctions de directeur du département Afrique à partir de novembre 1984, après quoi il devient, en octobre 1988, gouverneur de la BCEAO12.

Parcours politique

Premier ministre (1990-1993)

À partir du 18 avril 1990, en tant que président du Comité interministériel de la coordination du programme de stabilisation et de relance économique, il tente de résoudre la crise financière provoquée par la chute des cours des matières premières et par le poids de la dette extérieure.

Le 7 novembre 1990, il est nommé par le président de la République, Félix Houphouët-Boigny, à la fonction de Premier ministre de Côte d’Ivoire, qui a été créée à la suite d’une modification de la Constitution. Quelques jours plus tard, se tiennent les premières élections législatives multipartites, qui sont remportées par le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), ancien parti unique dont est membre Alassane Ouattara.

À la tête du gouvernement ivoirien, il mène une politique de rigueur budgétaire qui est durement ressentie par la population. Mais le programme de stabilisation et de relance économique mis en œuvre (réduction des dépenses, élargissement de la base taxable, privatisations…) finit par assainir les finances publiques et redonner confiance aux bailleurs de fonds [réf. nécessaire]. En outre, il crée la carte de séjour pour les travailleurs étrangers. Pendant cette période, le chef de l’opposition, Laurent Gbagbo, est condamné à deux ans de prison le 6 mars 1992, puis libéré le 31 juillet suivant.

Félix Houphouët-Boigny étant gravement malade, les convoitises entre ses différents successeurs potentiels se multiplient. Les ambitions d’Alassane Ouattara, qui assure l’essentiel du pouvoir du fait des hospitalisations à l’étranger du président, sont contrecarrées par la modification constitutionnelle de 1990, qui prévoit que le président de l’Assemblée nationale – qui est alors Henri Konan Bédié – assure l’intérim en cas de mort du chef de l’État. Le 7 décembre 1993, Alassane Ouattara prononce à la Radiotélévision ivoirienne une allocution dans laquelle il annonce la mort de Félix Houphouët-Boigny, déclarant que « la Côte d’Ivoire est orpheline ».

Il donne sa démission deux jours plus tard, et le président de la République par intérim, Henri Konan Bédié, nomme alors Daniel Kablan Duncan à la tête du gouvernement.

Présidence d’Henri Konan Bédié (1993-1999)

Après avoir quitté sa fonction de Premier ministre, Alassane Ouattara entame une « traversée du désert » en Côte d’Ivoire. En juillet 1994, il devient directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI). Premier Africain à occuper une fonction de cette importance au sein de l’institution internationale, il a sous sa responsabilité plus de 80 pays et remplace le directeur général, Michel Camdessus, lorsqu’il est absent.

En décembre 1994, l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire vote une modification du code électoral qui prévoit que nul ne peut être élu président de la République s’il « n’est Ivoirien de naissance, né de père et mère eux-mêmes Ivoiriens de naissance », s’il n’a pas résidé de façon continue en Côte d’Ivoire pendant les cinq années qui précèdent le scrutin ou encore s’il a la nationalité d’un autre État13. L’introduction de cette clause d’« ivoirité » vise à empêcher la candidature d’Alassane Ouattara, dont les opposants affirment que le père est d’origine burkinabé et qui est par ailleurs domicilié à Washington en tant que directeur général adjoint du FMI. Des haines ethniques et des violences politiques éclatent alors en Côte d’Ivoire. Le président Bédié refusant de faire modifier le code électoral, Alassane Ouattara renonce à se présenter et le « Front républicain », alliance entre le Front populaire ivoirien de Laurent Gbagbo et le Rassemblement des républicains de Côte d’Ivoire, qui soutient Alassane Ouattara, décide de boycotter l’élection14. Finalement, Henri Konan Bédié remporte largement l’élection présidentielle de 1995.

Alassane Ouattara quitte ses fonctions de directeur général adjoint du FMI le 31 juillet 1999 pour effectuer son retour sur la scène politique ivoirienne. Le lendemain, il est désigné président du Rassemblement des républicains (RDR)15, parti centriste et libéral fondé par le député Djéni Kobina cinq ans auparavant. Il annonce alors son intention de se présenter à l’élection présidentielle de 2000 et estime bénéficier d’une « parfaite éligibilité » en remplissant les conditions requises « en matière de nationalité, de filiation et de résidence ». Mais le pouvoir en place lance contre lui un mandat d’arrêt pour « faux sur l’identité et usage de faux documents administratifs », ce qui le pousse à s’exiler en France entre septembre et décembre 1999.

Comité national de Salut public (1999-2000)

À Noël 1999, une mutinerie éclate à Abidjan. Le général Robert Guéï prend la tête du mouvement, qui se transforme en coup d’État contre Henri Konan Bédié. Le 29 décembre 1999, alors que les prisonniers politiques sont libérés, Alassane Ouattara rentre de son exil. Une commission est formée par les militaires, avec des représentants de tous les partis, pour rédiger une nouvelle Constitution.

Mais les propositions de cette commission en matière de conditions de nationalité pour se présenter à la présidence de la République ne constituent pas un assouplissement par rapport à celles de la Ire République : seuls peuvent se présenter les Ivoiriens nés de père et de mère eux-mêmes ivoiriens d’origine. Alassane Ouattara voit alors, tout comme treize autres personnalités politiques, sa candidature à l’élection présidentielle écartée par la Cour suprême, qui estime qu’il est de « nationalité douteuse » au vu de la nouvelle Constitution, adoptée par référendum en juillet 200016. Cette situation provoque des troubles qui font plusieurs victimes dans le pays, à l’instar du « charnier de Yopougon », dans lequel sont entassés 57 cadavres de partisans supposés de Ouattara17,18. Cette découverte intervient peu après une élection contestée qui a porté Laurent Gbagbo à la tête du pays18.

Opposant à Laurent Gbagbo (2000-2011)….

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KARANTAO N’Passamogo intronisé comme le 13e Roi de Ouahabou

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A Ouahabou, dans les balé, El Hadj KARANTAO N’Passamogo âgé de 58 ans a été intronisé comme le tout nouveau Roi de Ouahabou dans la matinée de ce dimanche 18 Juin 2023.Cette intronisation est faite suite à la cérémonie marquant la fin des obsèques du défunt Roi El Hadj KARANTAO Karamogo.  El Hadj KARANTAO N’Passamogo  a été intronisé devant une foule immense  venue de plusieurs localités de la province des Balés et environnants.

Cathérine S ZONGO (son RTB)

Des tam-tams retentissent, la foule immense…Jeunes,femmes ,enfants et vieux se sont mobilisés pour conduire le nouveau roi dans son royaume. C’est aussi donner le trône au nouveau « Lion » de  Ouahabou. Celui-ci a été intronisé devant Dieu,les habitants de Ouahabou et environnants par les notables du canton. Son pouvoir s’étend de Ouahabou et tout le pays Marka originaire.

Une partie de la cérémonie d’intronisation

Le nouveau monarque a été présenté à la communauté pendant la cérémonie marquant la fin des obsèques de son grand frère, le défunt Roi, disparu le 11 juin 2023 suites à de courte maladie, selon des informations parvenues à jeune reporter.net.

C’est ainsi qu’il devient le 13e Roi du  royaume de Ouahabou, fondé par El Hadj KARANTAO Mamadou en 1868.

El Hadj KARANTAO N’Passamogo né en 1965 à Ouahabou,il a passé toute sa vie à Ouahabou jusqu’à son intronisation. Instruit dans l’éducation coranique, il devient également le guide religieux.

Bon règne à El Hadj KARANTAO N’Passamogo…

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Bobo-Dioulasso : 20 766 candidats sont à la conquête du Baccalauréat 2023

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La Secrétaire générale de la région des Hauts-Bassins, Mariama Konaté, a donné ce 20 juin 2023, le top de départ des épreuves écrites du Baccalauréat, session de 2023, au Lycée privé Alpha solidarité de Bobo-Dioulasso. Pour cette session, plus de 20 000 candidats sont enregistrés dans la région.

Sosthène SOMBIE

L’ouverture de la première enveloppe par la SGR, Mariama Konaté, a lancé officiellement l’examen du Baccalauréat 2023 à Bobo-Dioulasso.

Pour le Directeur régional des enseignements post-primaires et secondaires de la région des Hauts-Bassins, Frédéric Dalmeda, au total, 20 766 candidats sont à la conquête du Baccalauréat 2023, dans la région. Plus de 50 % des candidats sont des filles. Dans la région des Hauts-Bassins, on dénombre 78 jurys en tout, répartis sur les 3 provinces. Selon M. Dalmeda depuis un moment, ses équipes et lui ont travaillé en synergie pour une réussite de cet examen. Au sujet des candidats déplacés internes de la région, le Directeur régional rassure.  » Nous avons des cas d’élèves déplacés internes. Ils sont au nombre de 404 « , dit-il. Le Directeur régional rassure que tout est mis en œuvre afin que les candidats composent dans la quiétude. Frédéric Dalmeda a expliqué la complexité d’organisation. «  C’est un examen autant pour les candidats que pour les examinateurs. La pression est partout et le stress est partout. Mais nous travaillons à parfaire les choses au fur et à mesure que nous allons avancer « ,  affirme le Directeur régional.

 

Les encouragements de la SGR

 Ph des élèves dans la salle de composition.

La Secrétaire générale de la région, Mariama Konaté a tenu à encourager les candidats.  » C’est le début des épreuves écrites du Baccalauréat, la porte d’entrée de l’université pour nos enfants. Nous avons trouvé judicieux de venir encourager nos enfants, leurs souhaiter bonne chance et leurs donner des conseils par rapport aux examens qu’ils vont aborder « , indique la SGR. Elle invite les candidats à suivre les consignes des examinateurs.  » Nous leurs demandons de suivre les consignes pour ne pas qu’un élève face un geste déplacé qui va lui poser des ennuis. Vous savez que s’il y a fraude, l’élève peut être suspendu pour des années « , ajoute Mme Konaté. Elle appelle par ailleurs les candidats à aborder les épreuves avec sérénité. Les candidats à cette session de Baccalauréat ce sont dit prêts à affronter les épreuves.

Ils espèrent cependant décrocher leurs parchemins, chose qui les permettra d’avoir accès aux universités publiques et privées du Burkina Faso et d’ailleurs.

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Université  Joseph  Ky-ZERBO : Hamidou OUEDRAOGO désormais chef de service de la DEPS

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La cérémonie de passation de charges entre les DEPS entrant Hamidou OUEDRAOGO et sortant Pascal OUEDRAOGO a été présidée par le secrétaire général de l’Université Joseph KI-ZERBO, Abou ZOURE.   Directeur des Etudes, de la Planification   et des statistiques (DEPS) de l’Université Joseph KI-ZERBO, ce mardi 20 juin 2023. Son prédécesseur Pascal OUEDRAOGO a passé près de sept (7) ans à la tête de cette direction technique et stratégique.

Judicael S SOMBIE Commentaire

Nommé par décision 2023-339/MERSI/ UJKZ/P du 13juin 2023, le conseiller en statistique et analyse de développement, Hamidou OUEDRAOGO a été officiellement installé dans ses fonctions de

L’économiste-planificateur Pascal OUEDRAOGO, celui-là même qui occupait le poste, dit avoir le sentiment de devoir accompli après six (6) ans huit mois et treize (13) jours passés à la tête de la DEPS de l’UJKZ. Il a présenté les grandes lignes de son bilan en présence des responsables de l’Université Joseph KI-ZERBO et de la communauté universitaire. Des résultats atteints dans une bonne ambiance, reconnaissent  ses  désormais  ex-collaborateurs qui ont tenu à saluer de vive voix son engagement personnel pour la bonne marche du service.

Photo de famille 

Le nouveau Directeur des Etudes, de la Planification et des statistiques de l’UJKZ est aussi un fin statisticien et planificateur. Sa direction a entre autres missions : le suivi des projets de construction d’infrastructures de l’université, la conduite des études, l’élaboration des outils de pilotage et de suivi-élaboration, la collecte et le traitement des données statistiques. M. Hamidou OUEDRAOGO dit surtout compter sur la famille DEPS pour relever les défis par anticipation et promet travailler à mériter la confiance de tous les acteurs.

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