Jeunereporter a constaté lors de son voyage à Banfora le 20 Décemebre 2023 du côté du stade municipale de Banfora des jeunes garcons et filles par ci et par là comme si la commune n’était pas gouvernée. En dégourdissant les jambes, jeunereporter ignorait qu’il serait témoin, tout comme beaucoup d’autres habitants de la cité du paysan noir, d’une scène d’interpellation de jeunes filles et garçons par la police. En effet cette force républicaine de Banfora a effectué une descente musclée le 20 Décembre 2023 dans une des bases de Qnet située au secteur 7 de Banfora où elle a interpellé plusieurs jeunes. Avec cette intervention, deuxième du genre en l’espace de 10 jours, le jeune quotidien d’information en ligne apprend que ce sont plus de 120 acteurs de cette structure qui ont été pris dans les filets de la police de Banfora. Il apprend également qu’en effet, une opération similaire avait été effectuée au secteur 3 de la ville. A ce qui se dit, un tiers des jeunes interpellés sont des filles et parmi elles, il y en a qui ont des enfants avec eux.
PockDans ces balades à travers les différents secteurs de la ville comme il en a l’habitude, surtout en ce temps où la chaleur pousse à sortir, Djeliba est tombé sur une histoire digne d’un film hollywoodien. En fait, ce fait a tellement marqué Djeliba qu’il ne sait pas s’il faut en pleurer ou en rires. Comment pareille situation a-t-elle pu arriver ? Où va notre société ? Quel héritage allons-nous laisser à la postérité ? Voici autant de questions qui taraudaient les méninges de Djeliba lorsqu’il écoutait d’une ouïe espionne mais attentive cette histoire puisqu’il ne se trouvait pas sur la table où elle (l’histoire) se racontait. Mais de qu’elle histoire s’agit-il au juste ? Djeliba s’en va vous la conter.
Lors de cette sortie de Jeunereporter, il à ouïr dire que dans la périphérie de Banfora, entre les dômes attractifs et les bâtis des argentés, une école primaire de renommée aurait offert un film spectaculaire aussi bien aux élèves qu’aux riverains de la zone. En effet, deux enseignantes d’une même classe et assurément du tempérament, se seraient livrés en combat de gladiateurs au su et vu de tous. Ce combat se serait déroulé devant les tout-petits qu’elles sont censées éduquer. De ce combat, une victime aurait terminé sa soirée en soin intensif.C’était le 20 Décembre 2023.
Pour ce qui est des faits, Djeliba aurait appris que le nœud de cette guéguerre ne serait rien d’autre que la mise des modèles dans les cahiers. En espérant que ces propos trouvent leur fondement dans le HOUBLON qui gardait la table de l’auditoire de Djeliba, sinon pour la sensibilité et les gravissime conséquences que pourraient engendrer un tel acte s’il est avéré, Djeliba a préféré écourter sa balade de ce jour et est rentré illico-presto pour dissiper son émoi.
LinkedinTumblrPinterestRedditVKontakteOdnoklassniPockeTrès attendue, la date du 15 mai, journée de la tradition et des coutumes est bien dernière nous. Le griot, comme bon nombre d’adeptes se réjouit de l’institution de cette journée qui se veut un retour aux sourcesDans l’apès midi du 25 Décembre 2023,jeunereporter a appri près d’une source concondante sise à Banfora dans la cité du Paysan Noir,les offrandes de chiens. Surpris car après tant d’offrandes, les mânes des ancêtres ont bien voulu se signaler. Résultats, les vannes du ciel ont été ouvertes dans plusieurs localités du de la ville de Banfora. Quand la période s’approche,les chiens deviennent rares dans la ville du PaysanLe lendemain de la commémoration, très enchanté, le griot dans sa balade du coté de la région du Sud-Ouest a appris une histoire rocambolesque. Un adepte de la religion traditionnelle a en effet eu des déboires qu’il n’oubliera pas de si tôt car l’incident qui s’est déroulé est digne d’un scénario Hollywoodien. En effet, une mission avait été confiée à cet adepte. Il s’agissait pour lui de trouver un chien. Ayant reçu la somme nécessaire pour cette mission, l’adepte a donc entreprit les démarches et recherches nécessaires qui ont été fructueuses. Une fois les transactions accomplies, le missionnaire, dans la joie, repartait pour rendre compte à sa base après avoir réussi à mettre l’animal dans un sac qu’il avait amené sur les lieux. Le missionnaire avait ensuite embarqué pour le lieu des offrandesMais la suite a été des déboires pour l’envoyé spéciale suivie de désespoirs pour celui qui avait commandité la mission. Car chemin faisant, l’animal qui a entre-temps repris conscience se serait débattu et malheureusement pour le missionnaire, le sac, à force de griffes et de crocs reçus a été déchiré. L’animal qui devait servir d’offrande, c’est-à-dire le chien a donc pu se soustraire de sa prison mortelle au grand étonnement du missionnaire.
Dans l’après midi de ce 25 Décembre 2023,dans la cité du Paysan Noir,jeunereporter a appris dans le quartier des « Aggresseurs » de Banfora ,des offrandes de Chien.Et lorsque cette période arrive dans la cité du Paysan,les chiens deviennent rare.
Commentaire Adama TRAOREPocketLe Mois de Décembre marquant la fin de l’année et la reprise d’une autre année,les coutumiers,maréchale DOZO et les féticheurs se donnent le devoir de faire des sacrifices.C’est ainsi que des chiens,des chevales et même des poules déposées par ci et par là.A Banfora pour trouver des Poules et des de ces annimaux pour les offrandes reste tout un problème.Les Banforalais en ont fait toute une période d’offrandes, de tradition et des coutumes loin de nous et dernière nous. jeunereporter, comme bon nombre d’adeptes se réjouit de l’institution de cette période de sacrifices aux ancetres qui se veut un retour aux sources.
En attendant la prochaine édition, le missionnaire a pu se tirer de son bourbier saint et sauf. Comme quoi, même pour les animaux, la vie ne s’arrête pas tant que ce n’est pas la fin. Le chien qui devait être offert en sacrifice, bénéficie donc de jours supplémentaires de vie. Et sûrement ce n’est pas cette donne qui va susciter le courroux des ancêtres très compréhensifs, se contentant de ce qui leur est présenté. Sauf en cas de promesses fermes à leur endroit.
Les rideaux sont tombés, le 19 Décembre 2023, sur le terrain sportive de la circonscription d’Education de Base de Moussodougou. La finale de l’OSEP qui s’est jouée ce jour sur le terrain communal a opposé les écoles de A et B de la localité. Le public, composé essentiellement des habitants du village, d’enseignants et d’autres agents de l’Etat a été gratifié d’un très beau match qui a vu le sacre de Moussodougou B.
Amadou TRAORE(Stagiaire)
La saison sportive de 2023 de la Circonscription d’Education de Base (CEB) de Moussodougou a connu son épilogue le 16 mai 2024. Après plusieurs mois de confrontation entre les différentes écoles, ce sont les écoles A et B qui ont décroché les deux tickets de la finale qui s’est jouée ce 19 Décembre 2023 devant un public sorti nombreux pour être témoin de l’événement.
Plusieurs personnalités de la commune de Moussodougou ont assisté à la finale
Avant le coup d’envoi du match, l’inspecteur chef de la CEB de Moussodougou, Robert Soma a, dans son discours, exprimé toute sa satisfaction sur le déroulement de l’ensemble du tournoi. Il a également remercié tous ceux et toutes celles qui ont contribué pour l’organisation de cette saison sportive. Pour terminer, il a déclaré que c’est tous les acteurs qui sont honorés car l’organisation du sport à l’école primaire dans la commune de Moussodougou gagne en qualité et en maturité d’année en année. Prenant la parole à la suite du CCEB, le parrain de l’édition, le Professeur Yacouba Sourabié en poste à l’université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso, quant à lui a traduit sa reconnaissance aux éducateurs de la CEB qui ont bien voulu l’associé à cette organisation en le désignant comme parrain. Pour la pratique du sport contribue à l’éducation et la formation des enfants. C’est pourquoi il n’a pas hésité un seul instant à marquer son accord lorsque la demande de parrainage lui est parvenue. Tout en souhaitant que la meilleure gagne, il a invité les deux équipes au fair-play.
Le CCEB de Moussodougou, Robert Soma livrant son discours
A la fin du temps réglementaire, c’est l’équipe de Moussodougou qui s’est montré plus réaliste en transformant sa plus belle occasion en but. Elle a donc battu son adversaire sur ce plus petit score et a inscrit son nom en tête dans le palmarès de la saison. Pour l’inspecteur Robert Soma, c’est toute la CEB qui a gagné. « Nous avons assisté à un très beau match. Moussodougou B a gagné le match mais Moussodougou A n’a pas démérité. Les joueurs sont à féliciter » a dit Soma visiblement heureux de la fin en apothéose de la saison sportive dans la CEB.
Cette année, les quatre meilleures équipes en catégorie garçon et fille ont été récompensées. C’est ainsi que Moussodougou B pour sa première place remporte une enveloppe de 15 000 F CFA, 1 ballon plus un jeu de maillots. Moussodougou A pour sa part a reçu 10 000 F CFA plus un ballon et un jeu de maillots.
Jeunereporter reste sur sa soif lorsque des révélations qui ont le mérite d’alerter l’opinion publique sur une pratique de la jeunesse, le fer de lance de notre nation.Il s’agit de la tontine sexuelle.C’est avec un cœur meurtri que nous avons appris près de sources judiciaires que des élèves s’adonnaient à une telle pratique. C’était dans la matinée de ce 27 Décembre 2023.
Commentaire de Judicael S.SOMBIE
Inquiétude d’autant plus que c’est cette jeunesse qui sera appelée à prendre la relève de demain. Comme plusieurs internautes, le griot souligne qu’il y a quelques années sur les réseaux sociaux, il avait vu un reportage de la Lagune Ebriée sur ce genre de pratique de la jeunesse. Mais, il était loin d’imaginer que la pratique aux antipodes du sens humain, combattue par nos valeurs traditionnelles, puis, les religions révélées, avait franchi les frontières du Burkina Faso et est pratiquée par une jeunesse dont Jeunereporter a même du mal à qualifier. Quel bafouement ?
Tontine sexuelle vous dites ? C’est bien le titre de ce grand reportage servi par la RTB et qui aura fini de paniquer les sages. Des jeunes qui se cotisent avec l’argent de leurs géniteurs, qui se donnent un rendez-vous formel pour des séances de jambes en l’air « communautaire ». Une fois sur les lieux, pas de tabou. L’envie sexuelle est satisfaite à satiété cela à tour de rôle, avec des femelles préparées et invitées pour la circonstance. Résultats, ils se tapent les copines de leurs copains (toujours à satiété) et vice versa, les filles aux meures légères évaluent « enfin » les performances des amis de leurs petits amis. Après ni vu, ni connu et surtout, sans rancunes. Quel monde sommes-nous en train de construire ?
Des réactions dans le film suscitent d’ailleurs l’incompréhension de Jeunereporter , Jeunereporter qui conteste ces affirmations, entend faire souligner qu’il ne faut pas jeter la responsabilité sur tous les parents d’enfants. Mais sur certains….
L’ancienne salle des fêtes de la Mairie de Banfora a abrité du 20 au 22 Décembre 2023 , un atelier communal de formation sur le développement Économique Local Inclusif à ml’endroit des PDI de la région des cascades. Initié par l’ARFAC-Dèv, cet atelier aerné les personnes déplacées internes et des communautés d’accueil en vue de favoriser la croissance économique et l’intégration sociale dans la commune de Banfora.
Adama TRAORE
C’est un atelier qui se tient dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet de Développement Economique et Entreprenariat Local Inclusif dans la province de la Comoé initié par L’Association pour la Recherche, la Formation et l’Appui Conseil pour le Développement (ARFAC-Dév) en partenariat avec The Hague Académie of Local Gouvernance des Pays Bas.
Yakouba Barro, PDS de Banfora
Le lancement de ces activités qui a eu lieu ce lundi 20 mai 2024 s’est déroulé sous la présidence du Haut-commissaire de la Province de la Comoé, représenté par Yakouba Barro, Président de la Délégation Spéciale Communale de Banfora en présence de Bêbê Arnaud Noufé, Directeur Provincial en charge de la jeunesse de la Comoé.
En plus des personnes déplacées internes, ont pris part à cette formation, des acteurs et actrices de la maraicher culture, de la transformation de sésame, de l’anacarde, des couturiers, des vendeuses de jus, de légumes, des transformatrices de soumbala, de savons, d’atiéké des transformatrices de beurre de karité, des acteurs et actrices du petit commerce.
Lancée officiellement le mercredi 30 Novembre 2023 dans la Circonscription d’Education de Base de SAABA 2, la Tournée d’Animation Scolaire et de Sensibilisation (TASS) vient de connaitre son dénouement ce mercredi 22 Décembre 2023 dans la salle de spectacle de la Maison de la culture Anselme Titiama SANON de Bobo.
Cathérine S. ZONGO
Le DREPPNF des Hauts-Bassins, Karantao Soilliou a représenté le MENAPLN
Placée sous le thème « Le civisme, la citoyenneté et la culture en milieu scolaire : facteurs de paix et de cohésion sociale”, la tournée d’animation scolaire et de sensibilisation avait pour parrain Seydou BORO, PDG de la société BOPA International et comme invité d’honneur Roger ILBOUDO, représenté par Idrisso BELEM. « C’est une grande satisfaction pour moi, de savoir qu’au sein des personnels d’éducation, nous disposons d’aussi grands talents qui puissent apporter leur contribution à la promotion de notre culture, et particulièrement à la promotion de notre musique nationale si riche et si variée » a déclaré Soilliou Karantao, le DREPPNF des Hauts-Bassins qui a représenté le ministre de l’éducation nationale Jacques Sosthène DINGARA. Soilliou Karantao a, par ailleurs, au nom du ministre, félicité tous les acteurs, en particulier le Bureau National des Enseignants Musiciens, pour tout ce qu’il a entrepris depuis quelques années en faveur de la promotion des rythmes de nos terroirs contribuant ainsi à promouvoir nos valeurs et à faire rayonner notre culture nationale.
Les artistes ont offert un beau spectacle aux invités
De l’avis de la présidente du BNEM, Alimata THOMBIANO alias Axelle KIDANN, la caravane de sensibilisation leur a permis de sillonner les régions du centre, du centre Sud, de l’Est et des Hauts-Bassins. « Grâce à cette caravane de sensibilisation qui a pour thème “ le civisme, la citoyenneté, la culture, facteur de paix et de cohésion sociale” nous avons dit, nous, enseignants-artistes comme je le disais tantôt, en plus de la craie, nous avons le micro comme arme pour combattre l’ignorance sur l’extrémisme violent, l’incivisme. Donc nous avons pu sensibiliser par cette caravane, quatrième édition trente milles (30000) élèves » a-t-elle conclu. « L’école seulement n’éduque pas un enfant » a lancé le parrain de l’édition. C’est pour cette raison qu’il a accepté parrainer cette tournée scolaire et de sensibilisation depuis la première édition.
Dans ces dernières périodes, la vie en société est devenue terrible. Des pertes d’enfants se multiplies de jours en jours.C’est pourquoi dans sa rubrique,jeunereporter fait cas de se terrible disparition d’enfants.Nous l’avons entendu à Bobo et à Banfora.
Commentaire de Adama TRAORE
Jeunereporter suit l’évolution du temps. Il est le baromètre qui a su évoluer et s’adapte à la marche inlassable du temps, ou, si vous voulez, à l’évolution de la société.
Il ne se passe plus une semaine sans que dans les réseaux sociaux, il ne soit signalé une disparition d’enfant. Jeunereporter suit toujours ces publications le cœurs séré et meurtri, imaginant la terrible angoisse des parents, amis et connaissances de l’enfant disparu. De quoi perdre le sommeil pour ces proches.
Le scénario est presque le même. Ces enfants, dans la majorité des cas, disparaissent sur le chemin de l’école. Pensant que leur rejeton est à l’école, ces pauvres parents attendent jusqu’à s’impatienter, avant d’alerter le voisinage. Puis, à force d’attentes, les réseaux sociaux sont mis à contribution pour non seulement partager la triste nouvelle, mais surtout épauler la famille dans les recherches de l’enfant. Les heures ou les jours qui suivent, très souvent, c’est la bonne nouvelle déstressant qui s’affiche « Enfant retrouvé, merci pour votre collaboration ou votre contribution ». Contrairement au cas récent de l’enfant de trois ans à Bobo-Dioulasso dont le corps a été retrouvé dans un sac, c’est très souvent la bonne nouvelle, ce qui réjouit très souvent d’ailleurs jeunereporter reste souvent sur sa soif…
Ce jeudi 9 Novembre 2023,a eu lieu sur le terrain de l’école Centre le match du dénouement du tournoi interservices de la province de la comoé. Ce match a opposé l’équipe de la Police à celle de la Gendarmerie. C’était au stade omnisport de Banfora.
Adama TRAORE sur place
Pour cette fête du sport et de la cohésion entre les services de la province de la Comoé, les plus hautes autorités ont marqué leur présence d’ici et d’ailleurs. Il s’agit notamment de l’ex monsieur SOULAMA Lamine, Haut-Commissaire du Houet qui n’a ne ménager aucun effort pour prendre part. Outre le Haut-Commissaire du Houet.
Dans la tribune officielle de cette finale on peut noter la présence effective de Oumarou Traoré, parrain, le 2e adjoint au maire de Banfora , les commandants de la police et de la Gendarmerie de la ville. A l’issue des deux périodes, c’est l’équipe de la Police Nationale en rouge qui prend le dessus sur celle de la Gendarmerie en bleu par le score de 2#0.
L’information a été donnée le Samedi 11 décembre 2023, par l’association Art au-delà de le handicap (ADH) en conférence de presse à Bobo-Dioulasso. Selon le comité d’organisation, les festivités se tiendront le 11 au 23 Décembre 2023 au centre culturel les Bambous.
Placé sous le thème : Pratiqu’Art pour s’imposer, pour Yaya SANOU, président et directeur artistique de l’ADH, la 4ème édition de Noussondia est l’occasion pour les jeunes en situation de handicap, de militer et faire passer leurs messages par la pratique de l’art afin de retrouver la place qui leur a été arraché dans la société.
