Dans ces dernières périodes, la vie en société est devenue terrible. Des pertes d’enfants se multiplies de jours en jours.C’est pourquoi dans sa rubrique,jeunereporter fait cas de se terrible disparition d’enfants.Nous l’avons entendu à Bobo et à Banfora.
Commentaire de Adama TRAORE
Jeunereporter suit l’évolution du temps. Il est le baromètre qui a su évoluer et s’adapte à la marche inlassable du temps, ou, si vous voulez, à l’évolution de la société.
Il ne se passe plus une semaine sans que dans les réseaux sociaux, il ne soit signalé une disparition d’enfant. Jeunereporter suit toujours ces publications le cœurs séré et meurtri, imaginant la terrible angoisse des parents, amis et connaissances de l’enfant disparu. De quoi perdre le sommeil pour ces proches.
Le scénario est presque le même. Ces enfants, dans la majorité des cas, disparaissent sur le chemin de l’école. Pensant que leur rejeton est à l’école, ces pauvres parents attendent jusqu’à s’impatienter, avant d’alerter le voisinage. Puis, à force d’attentes, les réseaux sociaux sont mis à contribution pour non seulement partager la triste nouvelle, mais surtout épauler la famille dans les recherches de l’enfant. Les heures ou les jours qui suivent, très souvent, c’est la bonne nouvelle déstressant qui s’affiche « Enfant retrouvé, merci pour votre collaboration ou votre contribution ». Contrairement au cas récent de l’enfant de trois ans à Bobo-Dioulasso dont le corps a été retrouvé dans un sac, c’est très souvent la bonne nouvelle, ce qui réjouit très souvent d’ailleurs jeunereporter reste souvent sur sa soif…
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