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Bobo-Dioulasso : Le coordonnateur National de la PJP, Nestor PODASSE dans le filet de la Gendarmerie National.

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Dans la soirée de ce jeudi 9 Février 2023,aux alentours de 18h,le grand leader panafricaniste patriote le plus engagé pour la souveraineté du Burkina et de l’Afrique ,Nestor PODASSE, coordonateur National de la PJP, Président National de la FMP/BF a été contacté par le commandant de la sureté de la Gendarmerie de Bobo pour des échanges, comme à l’accoutumé. Il s’y rend en compagnie du coordonnateur Régional de PJP Hauts-Bassins et une camarade de lutte collaboratrice. Après  des échanges, grande fut la surprise en lieu et place d’entendre le leader, lorsque le  commandant procède à son arrestation. Selon le commandant, il exécute les ordres du procureur du Faso. Sans protocole, Nestor a été déposé à la MACB. Pour l’instant, son droit de savoir les chefs d’accusations portés contre lui a été refusé.

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Les Radios de Bobo-Dioulasso : Face aux difficultés

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A l’occasion de la 4ème édition du FIRAF dont le thème est RADIO et transition : quelle contribution ? Une visite de quelques radios de Bobo  a permis de se faire une idée du travail des rédactions dans cette période compliquée.La sortie de visite a été faite dans la matinée du Mercredi 9 Février 2022.

 Judicael S. SOMBIE

A la Radio Omega qui émet sur la fréquence 104.2 FM. Paul SOMA, le Directeur des Programmes avoue que le changement institutionnel a impacté le monde des radios au Burkina Faso.

Image  illustrative de Paul SOMA, chef de programme Omega Bobo.

Il explique : « le phénomène transitoire a fragilisé le monde des radios. C’est pourquoi, les difficultés ne manquent pas aujourd’hui. Elles peuvent être de tous ordres comme la réduction des sorties terrains ou la recherche de moyens pour le renforcement des capacités des journalistes, autant de problèmes qui accroissent les griefs contre le changement institutionnel au Burkina Faso ».

Selon Paul SOMA, le traitement de l’information n’a pas changé tant que cela. « Il s’agit juste de recadrer le travail des journalistes et de leur donner une nouvelle orientation. L’information Radio est toujours nécessaire en temps de crise ou non », précise le        directeur programme.

Dans la même logique de changement institutionnel, Paul SOMA avoue que le changement institutionnel a impacté financièrement les activités de la radio. Il s’explique : « étant donné que les radios vivent de l’information et du quotidien de la population, lorsque celle-ci est malmenée financièrement, cela a un impact sur toutes les activités y compris le secteur de la radio. »

Paul SOMA poursuit : « le FIRAF permettra un temps soit peu aux responsables des Radio du Burkina Faso et d’ailleurs d’échanger sur les fondements, les acquis  les perspectives dans le traitement de l’information Radiophonique avec les acteurs venus des quatre coins de la sous-région. »

A la Radio LPC Bobo-Dioulasso qui émet sur,105 .5. c’est Hervé BAYALA le responsable de l’antenne  qui s’exprime. Pour lui la Radio contribue fortement au renforcement institutionnel de cette transition politique mise en place au Burkina Faso.Il précise : «  cette contribution est visible par exemple au niveau des émissions citoyennes pour sensibiliser  les jeunes et leur faire prendre conscience des drames qui endeuillent chaque jour les Burkinabé. »

Image illustratif  de Hervé BAYALA, Directeur de la RADIO LPC

La Radio doit –elle changée la manière de travailler ? En cette période transitoire, le Doyen de la Radio LPC dit n’avoir pas eu de problèmes majeurs.

A en croire Hervé BAYALA, en période transitoire, le journaliste doit dire la vérité et rien que la vérité quelle que soit  la situation à laquelle il fait face. Il ajoute : « les radios doivent donc contribuer au renforcement de la transition en disant la vérité à la population et ne pas tomber dans la propagande. »

A Bobo comme ailleurs, diffuser la vraie information c’est le premier rôle d’une radio…d’information.

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Bobo-Dioulasso: Le Festival International des Radio d’Afrique Francophones claque ses portes.

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  Avec l’avènement des coups d’Etat militaires en Afrique francophone ces dernières années, le travail des journalistes devient de plus en plus difficile. Les entraves à la liberté de presse planent sur les têtes des radios. Quand elles ne sont pas enjointes de fermer par les autorités militaires, elles sont menacées par les activistes à la solde du pouvoir qui les jettent en pâture. La 4e édition du FIRAF pose le débat.

Judicael S;SOMBIE 

« En ces moments de transition et de changement institutionnel, que peut et doit faire la radio ? Que ne doit-elle pas faire ? » s’interroge le commissaire général du FIRAF Abdoulaye OUATTARA au cours de la conférence presse sur la 4e édition du Festival International des Radios de l’Afrique Francophone qui se tient du 10 au 12 février 2023 à Bobo Dioulasso. Pour cette édition, actualité politique oblige, les réflexions se focalisent sur « radio et transition : quelle contribution ? Après les séries de coups d’Etat qui ont renversé les pouvoirs issus d’élection, comment les journalistes travaillent au sein des radios en ces moments ? qu’est-ce qui leur est permis et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Ce sont autant de questions qui vont être discutées dans des panels et conférences. Depuis deux ans, l’Association Reporters solidaires, partenaire traditionnel du festival encadre les étudiants du Master 2 en Techniques des Métiers de l’Information qui réalisent le journal Firaf Info. « Le thème paraît osé mais il est nécessaire que la radio apporte sa contribution au débat et à l’éveil des consciences » selon le commissaire général du FIRAF. Faisant référence à des propos tenus par le premier ministre burkinabè qui demande que les plateaux télé soient « recadrés », et mettant en garde les journalistes contre les dérives de la radio des mille collines qui a encouragé le génocide rwandais, KANI Mountamou, président de l’Union des Journalistes-Communicateurs et correspondants de presse des Hauts Bassins (UJCCRP), partenaire du FIRAF, estime que « ce qui est dit aujourd’hui pour les plateaux télé vaut aussi pour la radio ». C’est pourquoi selon lui, le choix du thème est courageux et est à saluer.

Ph de KANI MOUTAMOU

Des masters-class sont organisés en marge du festival par le Réseau d’Initiatives des Journalistes (RIJ), association partenaire du FIRAF,pour les étudiants en communication de l’Université Nazi Boni. Malgré les contraintes du moment, la4eédition connait la participation des pays voisins du Burkina Faso en l’occurrence le Niger, le Mali, le Bénin et la Côte d’Ivoire. Le ministre de la communication, des arts et de la culture, patron de l’édition est attendu au festival. A l’issue de la 4e édition, un travail va se faire pour la mise sur pied d’une association qui va désormais s’occuper de l’organisation du FIRAF et penser à sa pérennisation.

Ph de Abdoulaye  OUATTARA Commissaire du FIRAF

Présente à la conférence de presse, Reporters solidaires a dit sa joie de pouvoir y prendre part en plus du soutien apporté à l’organisation. L’association défend depuis sa naissance les intérêts des journalistes et s’investit pour la formation de ces derniers, surtout en Guinée, au Mali et bien évidemment au Burkina Faso.

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Célébration de la 16è édition du SIAO 2023 : On y trouve des produits made in Toussiana

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Initialement prévue du 28 Octobre au 06 Novembre 2022, la 16e Édition du Salon International de l’Artisanat de Ouagadougou (SIAO), se tient finalement du 27 Janvier au 05 Février  2023. La ville de TOUSSIANA n’est pas restée en marge face à la célébration de la 16è édition du SIAO 2023. La société coopérative de Transformation des mangues de Faustin Coulibaly y était de la partie.

 Judicael S. SOMBIE 

Installé au pavillon Pyramide , stand no 17,la belle cité de TOUSSIANA s’est fortement représentée qui s’est ouvert le 27 Janvier 2023.A l’occasion de cette fête artisanale, on y trouve presque tout les produits made in TOUSSIANA.

Images des expositions

Par ailleurs, la belle cité de TOUSSIANA a été représentée par la Société Coopérative de Transformation de la Mangue de Nessan Faustin COULIBALY de Yorokofesso.  Au pavillon pyramide stand 27, on peut trouver des produits made in Toussiana dont la mangue fraîche, la mangue séchée, le jus de mangue et bien d’autres produits naturels. Pour ceux qui sont sur place à Ouagadougou, ne vous faite pas raconté par cet événement. Faites  un tour dans ce stand  pour  les encouragés et encourager  la promotion de nos produits locaux.

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Route Banfora-Mangodara :15 corps sans vie ont été retrouvés dans le village de Linguékoro

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Ce 30 Janvier 2023,aux environs de 12h,quinze(15) corps sans vie ont été retrouvés dans le village de Linguékoro à quelques kilomètres de Mangodara, dans la province de la Comoé. Lisez ci-dessous le communiqué du Gouverneur de la région des Cascades :

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ECBF: Un exemple d’entreprise citoyenne

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 Entreprise Comoè  Barro et Frère ECBF est une entreprise dynamique et professionnelle installée à Banfora dans les cascades et qui couvre tout le territoire nationale.

Elle se dit disponible pour des travaux publics hydrauliques villageois, construction de Bâtiments, plomberie  sanitaire et industriel, foration des puits, implantation et confection des supports de châteaux etc.

A ce jour, ECBF compte une vingtaine de personnel qualifié plus d’une vingtaine de château construit à Banfora et environnants. Les prix des châteaux varient d’une localité à une autre.

Pour des besoins contacté le : 70.47.90.63/ 67.57.47.57

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