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Coopération Burkina-Mali :  la délégation des deux gouvernements rend compte des travaux au Chef de l’Etat

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Le conseil des ministres conjoint des gouvernements burkinabè et malien, la délégation conjointe des deux pays a été reçue en audience par le Président de la Transition, Chef de l’Etat du Burkina Faso, le Capitaine Ibrahim TRAORE.C’était le Vendredi 24 Février 2023 à OUAGADOUGOU.

Judicael S SOMBIE(son et image, Jt RTB 20h)

Pour le Premier ministre burkinabè, Me Apollinaire Joachimson KYELEM de Tambèla, cette audience a été une occasion pour la délégation conjointe de faire le point des travaux au Président de la Transition burkinabè, le Capitaine Ibrahim TRAORE. « Sur instruction de nos Chefs d’Etat, le Colonel Assimi GOITA et le Capitaine Ibrahim TRAORE, nous avons entrepris de baliser le terrain en vue de réaliser les rêves de nos populations. Vous savez que le Mali et le Burkina Faso partagent physiquement la plus grande frontière, près de 1300 km, culturellement c’est le même peuple », a indiqué le Chef du gouvernement burkinabè à l’issue de l’audience de la délégation.

Selon Me KYELEM, les deux gouvernements sont engagés résolument dans le processus de fédération des deux pays et les travaux ont permis d’échanger sur comment poser les jalons pour que cette fédération voit le jour. « Disons que les peuples sont déjà fédérés, ce sont les artifices administratifs et politiques qui les séparent. Comment nous pouvons essayer de mettre de côté ces artifices afin que les peuples puissent se rencontrer et aller ensemble », a ajouté le Premier ministre burkinabè.

Dans cette perspective, une grande commission mixte est annoncée pour se réunir à Bamako en vue de baliser le terrain, de renforcer la coopération et faire en sorte que « les pas que nous posons puissent être plus ou moins définitifs, qu’il n’y ait pas un retour en arrière ».

Le Premier ministre burkinabè a salué la mobilisation de la délégation malienne conduite par son homologue Choguel Kokalla MAIGA. Le Mali participe à la 28e édition du FESPACO en tant que pays invité d’honneur.

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Bobo-Dioulasso : Le Fond de Développement Culturel et Touristique  finance à  plus de 374 millions  les projets culturels de la région des Hauts-Bassins.

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Le Ministre de la Communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme, Monsieur Jean-Emmanuel OUDRAOGO, a procédé au lancement officiel d’un appel à projets spécifique du Fonds de Développement Culturel et Touristique (FDCT) dans la région des Hauts-Bassins, ce mardi 21 février 2023, à Bobo-Dioulasso. C’était en présence des acteurs culturels de la région.

Judicael S.SOMBIE

Ce projet vise à mettre en valeur les potentialités culturelles de la régiondes Hauts-Bassins avecla prise en compte spécifique du tourisme culturel.Ce projet entre dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Appui aux industries créatives et à la Gouvernance des Cultures (PAIC GC).

Vue de la mobilisation des acteurs. 

Pour le Ministre en charge de la Culture, ce présent appel à projet s’inscrit en droite ligne des objectifs stratégiques des référentiels de développement aussi bien national, sectoriel que régional. Il constitue une phase pilote sur laquelle nous fondons beaucoup d’espoir quant aux résultats qui seront engrangés. « La région des Hauts-Bassins regorge d’un immense patrimoine culturel et touristique ainsi que d’acteurs suffisamment avertis des enjeux de leur mise en valeur pour booster l’économie locale conformément au plan d’action 2023-2025,mais également créer des emplois décents dans un contexte où nombre de jeunes tentent parfois certaines aventures au péril de leur vie », a -t-il indiqué.

Ph du Ministre de la communication lors du lancement.

Selon la Directrice Générale du FDCT, Madame Fiohan Caryne TRAORE/BENI, c’est un projet qui visespécifiquement à soutenir les opérateurs des Filières culturelles des Hauts-Bassins pour la mise en œuvre des actionsinnovantes, le renforcement de leurs capacités entrepreneuriales, le développement de leur créativité, la mise en marché duriche patrimoine et la mise en exergue de leur savoir-faire séculaire.

Ph de la Directrice Générale du FDCT, Madame Fiohan Caryne TRAORE/BENI  

Ce projet, d’un montant de plus de 374 millions, co-financé par l’Union Européenne est ouvert aux acteurs culturels de la région des Hauts-Bassins.Le financement de ces acteurs culturels à travers ce fonds va leur permettre certainement d’accroitre l’économie régionale et de contribuer à la promotion de la paix et de la cohésion sociale.

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3ème édition du FEBAANOU : Les acteurs veulent valoriser  les musiques et les danses Africaines

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Le comité d’organisation du Festival de Danses et de Musiques Africaines (FEBAANOU), a organisé une conférence de presse ce jeudi 16 février 2023, à Bobo-Dioulasso. Cette conférence a pour objectif d’informer et solliciter l’accompagnement des journalistes sur la tenue et les conditions du déroulement de cette édition.

Judicael s.SOME

Ce festival, avec pour pays invité d’honneur le Mali, se tiendra du 02 au 05 mars 2023 à Bobo-Dioulasso sous le thème : « La culture, allié incontournable dans la lutte contre la radicalisation des jeunes ». Cette édition est placée sous le patronage de la secrétaire technique de la SNC, Madame Christiane SANONet le parrainage de Monsieur Issiaka OUEDRAOGO aléas ZOUGNA ZAGAMDA.

C’est un festival qui a pour mission entre autres de créer un cadre de rencontre et de convivialité entre les différentes communautés d’ici et d’ailleurs, autours des musiques et des danses du terroir, aux dires de la Directrice artistique du FEBAANOU, Madame Flavienne Sawadogo.

Ph des hommes de médias au four et au moulin.

Madame Flavienne Sawadogo, dans la déclaration luminaire a montré l’importance et l’originalité de ce festival. Pour elle,c’est une tribune de valorisation des musiques et des danses Africaines. « FEBAANOU en langue bwamou qui signifie festival culture de chez nous, oriente ses actions vers les communautés, c’est l’un des rares festivals au Burkina Faso à mettre en valeurs nos musiques et danses Africaines. Il permettra de montrer un pan de nos cultures, d’où son originalité et sa capacité à valoriser nos cultures. », a -t-elle indiqué.

Elle a également relevé la pertinence du thème choisi en relation avec le contexte actuel de notre pays, un moyen donc de mobiliser la jeunesse contre ce fléau. « D’une manière générale, le regard extérieur de la culture prend peu en compte ou pas du tout la thématique liée à la cohésion sociale, la réconciliation et la sécurité. Trois choses qui devraient être notre combat quotidien au Burkina Faso. C’est pourquoi FEBAANOU 2023 se déroulera sur ce thème en rapport avec la sécurité. », a ajouté Madame Flavienne SAWADOGO.

Après deux éditions passées, cette 3ème  édition se tiendra malgré le conteste assez difficile du pays. Elle se veut innovatrice et compte jouer sa partition dans de la lutte contre l’hydre terrorisme. Il est prévu d’y apporter des touches particulièresen mettant l’accent sur le live en cette édition. Au moins 20.000 festivaliers sont attendus à ce festival. Le comité d’organisation du FEBAANOU, avec l’aide de ses partenaires, compte également former une quinzaine de jeunes en danses et musiques du terroir au soir de cette 3èmeédition.

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Banfora : L’ONG Kamalpha outille neuf formateurs en digitalisation informatique.

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  L’ONG Kamalpha  a procédé à une formation de neuf formateurs en digitalisation informatique. La formation s’est déroulée du samedi 11 au dimanche 12 février 2023 dans la salle de réunion de l’Association Munyu des femmes de Banfora sous l’initiative de l’ONG Kamalpha.

Adama TRAORE 

Ce sont neuf formateurs qui reçoivent des attestations dans les mains de l’ONG KAMALPHA après une formation sur la digitalisation. Lassina BAMBA est le président de l’ONG Kamalpha, en qualité de formateur à l’issu de cette mission de digitalisation informatique, il explique les objectifs de cette initiative « La scolarisation étant adossée au digital de nos jours met au banc de touche les adultes qui sont dans la production au bord des champ, dans les ateliers de menuiserie, dans les marchés…Au regard de la difficulté d’avoir des enseignants pour tout ce monde, nous avons décidé d’utiliser le numérique comme tremplin qui va remplacer l’encadreur pour que toute la population soit alphabétisée dans l’avenir… ».

Ph de Lassina BAMBA, président de l’ONG Kamalpha et formateur.

Se sont au total 9 jeunes venus d’horizons divers de la région des cascades qui ont été formés par l’ONG kamalpha et qui à leur tour seront chargés de retransmettre les connaissances acquises à d’autres personnes. Bamba Aboubacar Idriss est un bénéficiaire de cette formation. Il dit est très satisfait de ce qu’il a appris durant ces deux jours de formation : « Je suis stupéfait de cette formation qui nous a appris non seulement tout ce qui concerne l’informatique et surtout la pédagogie d’enseigner d’autres personnes qui ne sont jamais allés à l’école ou qui ne sont pas arrivés loin dans les études mais également à des personnes dites professionnels dans leur domaine d’activité mais qui n’ont pas la maitrise de l’outil informatique… » Parmi les formateurs en formation on pouvait compter des gens qui ne maitrisent eux aussi pas certaines notions en informatique ; cette formation a été une bonne occasion pour eux. Christine KOURAOGO fait partie de ces personnes. Elle exprime sa satisfaction pour cette formation : « Cette formation est la bienvenue pour moi parce que je ne maitrise pas trop l’outil informatique alors qu’au 21èmesiècle cela est un mal nécessaire. En voulant vulgariser cet outil, il faut que nous qui sommes les premiers acteurs nous soyons mieux outillées pour pouvoir transmettre ce savoir à d’autres personnes. Nos formateurs sont vraiment bien qualifiés car ils utilisent la manière appropriée pour nous transmettre ce savoir. Je pense vraiment qu’après cette formation nous serons à mesure de former d’autres personnes… ». Ces idées sont partagées par tous les participants.

Vue des participants à la formation

Tous sont unanimes que cette formation va être bénéfique pour les populations de la région des Cascades surtout le monde rural. Ils ont tenu à remercier cette initiative de l’ONG Kamalpha. Lassina BAMBA a pour sa part, demandé aux personnes formées d’avoir évidemment l’amour pour la transmission du savoir. Il demande également aux décideurs du Burkina Faso de croire en ce message de formation digital.

Ce type de formation professionnelle doit être vulgarisé dans les 13 régions du pays. Il est temps que les décideurs voient dans le digital un avantage plutôt qu’un luxe. Cette formation sur la digitalisation en informatique s’est achevée par la remise d’une attestation de participation a chaque participant.

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Bobo-Dioulasso: La société SARAMAYA Transport recrute 50 chauffeurs.

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Le responsable de la compagnie de transport SARAMAYA a l’honneur de porter à la connaissance du public , du recrutement  de cinquante (50) chauffeurs pour le compte de la société Saramaya Transport.

CONDITIONS DE PARTICIPATION :
Peuvent faire acte de candidature, les personnes remplissant les conditions suivantes :
– avoir un âge compris entre 25 et 40 ans au plus;
– être titulaire au moins du certificat d’étude primaire ;
– être titulaire du permis de conduire D ;
– avoir une expérience d’au moins 03 ans dans le domaine du transport en commun ou un domaine connexe ;
– être immédiatement disponible et apte à travailler sous pression ;
– être de bonne moralité.
COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE
Les candidats remplissant les conditions exigées et désirant déposer leur candidature doivent fournir un dossier complet comportant les pièces suivantes :
– une demande manuscrite non timbrée adressée à Monsieur le Directeur de la Formation du Centre de Formation Professionnelle Very Important Person – Auto & Moto Ecole BURKINA Sarl ;
– une photocopie légalisée de la CNIB ;
– une photocopie légalisée du diplôme et du permis de conduire ;
– une photocopie des attestations de travail ;
Les candidats retenus seront invités à fournir les documents complémentaires suivants :
✓ un casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois.
✓ un engagement manuscrit et légalisé à se soumettre aux conditions de Saramaya Transport ;
✓ un certificat médical et d’acuité visuel ;
✓ un certificat de résidence dans la Commune de Ouagadougou ou de Bobo Dioulasso.
NB. Les chauffeurs retenus seront soumis à une formation qui sera sanctionnée par une évaluation au terme de la formation. A la suite de l’évaluation, seuls les qualifiés seront mis à la disposition de la Société SARAMAYA TRANSPORT
LIEU ET PERIODE DE RECEPTION DES DOSSIERS
Les dossiers de candidature seront reçus tous les jours ouvrables de 08h00 à 16h00, à compter du mardi 14 février jusqu’au mardi 28 février 2023 inclus, dans les lieux ci-après :
1. Ouagadougou :
• au siège du CFP-VIP AME, sis à Ouaga2000, derrière l’Ambassade des États-Unis, face au mur Est du complexe scolaire Horizon International ;
• Au siège du Centre de Formation Professionnelle d’Engins Miniers et de Santé Sécurité au Travail (CFPEM-SST), derrière la station PETROFA de Cissin ;
2. BOBO DIOULASSO :
• A la représentation du CFPEM-SST, sis au secteur 25 de la ville de Bobo Dioulasso, non loin de la radio Savane FM.
Contact : 77 02 32 32 –
70 75 76 27
Le Centre de Formation Professionnelle Very Important Person Auto et Moto École et SARAMAYA TRANSPORT, un partenariat au profit des usagers de la route pour une conduite sure et sécurisée car savoir conduire c’est sauver sa vie et celle des autres.
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 Banfora : Les projets et programmes d’eau potable et d’assainissement dressent leur bilan annuelle

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Les travaux se sont déroulés du jeudi 9 au vendredi 10 février 2023 dans la salle de conférence du nouveau site de la mairie de Banfora. Ces travaux étaient présidés par le haut-commissaire de la province de la Comoé en présence du 2ème Vice-président Frederic HEMA représentant Yacouba BARRO Président de la Délégation Spéciale Communale. Cette activité a été organisée par la commune de Banfora avec l’aide technique et financé de IRC.

Adama TRAORE

 

Revue annuelle des projets et programmes d’eau potable et d’assainissement de la commune de Banfora. Il s’est agit du bilan des travaux des projets et programmes en matière d’eau potable et d’assainissement dans la commune de Banfora durant l’année écoulée et les perspectives pour l’année encours. C’était au cours d’un atelier réunissant tous les partenaires exerçants dans le domaine de l’eau potable et de l’assainissement dans la commune.

Vue de la mobilisation des acteurs

C’est au regard de la problématique liéeà l’accessibilité a l’eau potable,à l’assainissement et à l’hygiène dans notrepays, à l’engagement du gouvernement pour l’atteinte des ODD6, que la commune de Banfora dans la même lancée a élaboré en 2017 un plan stratégique des services d’eaupotable et d’assainissement à permettre une synergie d’action et de faciliter l’intervention de différents partenaires dans la commune,cette rencontre bilan s’avère indispensable. Pour Frederic HEMA 2èmeVice-Président de la Délégation Spéciale Communale de Banfora, cette activité est une opportunité pour la commune de savoir une fois de plus avec laquelle les partenaires accompagnent la commune vers le chemin du développement. Selon lui : « C’est une satisfaction pour nous, parce que nous avons suivi de bout en bout les différentes communications et les échanges entre les participantsquiont été très fructueuses. Ce qui a permis de toucher du doigt certaines réalités, de relever des difficultés et de proposer des pistes de solution pour permettreune mise en œuvre réussie et  efficace des différents programmes qui ont été présentés… » le programme des activités de 2022 a été revu de fond en comble par les participants et tous celles qui n’ont pas pu êtreréalisées ont été reformulées et reconduite pour l’année 2023 selon Adama ROUAMBA Président de la ligue des consommateurs section Comoé «  De nouvelles activités ont été ajoutées pour 2023 à celles qui n’ont pas pu être exécutées en 2022 de sorte que à l’horizon 2030 tous les objectifs fixés en matière d’eau potable , d’hygiène et d’assainissement puissent être atteints… » En terme de perspectives la direction communale en charge des questions  d’eau, d’hygiène et d’assainissement Mariétou OUATTARA demande d’abord l’implication de toute la population dans l’entretien des ouvrages réalisés et demande également aux partenaires de continuer à soutenir la commune.

Les travaux de l’atelier se sont achevés par des notes de satisfaction autant pour la commune que pour ses partenaires.

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Banfora : Marche-meeting pour soutenir les autorités de  la transition.

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 La population de la région des cascades unissent leur voix comme une seule personne pour dire OUI à la transition, soutenir les Forces de Défense et de Sécurité (FDS) et le VDP de notre pays. Elle l’a fait savoir aujourd’hui samedi 11 février 2023 à travers une marche-meeting. C’était en présence de plusieurs (es) filles et fils de la région des cascades. Cette marche-meeting est l’initiative de l’Association Burkina Remparts.

Adama TRAORE

A l’instar des autres villes du Burkina Faso, la ville de Banfora s’est fait entendre aujourd’hui par une forte mobilisation de la population à la place de la nation de Banfora pour participer à la marche-meeting de soutien aux Forces de Défense et de Sécurité ainsi qu’aux VDP afin de s’exprimer contre le terrorisme dans notre pays et soutenir les autorités de la transition.Pressent à cette manifestation l’ex-maire de Mangodara Famoro OUATTARA se dit très touché par ce qui se passe actuellement au Burkina Faso. Il l’exprime en ses termes : « Nous pensons à notre région mais nous pensons également à tout le Burkina.

Vue de la mobilisation des acteurs des cascades

Ceux qui sont là aujourd’hui nous prions Dieu qu’ils puissent réussir leur mission pour que nous pussions continuer à vivre paisiblement comme par le passé, car cela est très important pour nous tous. Nous soutenons la transition avec tout ce qui l’accompagne… » Plusieurs   allocutions se sont succédées avec pour seuls messages de cohésion sociale, de dialogue, de pardon, de soutiens, d’entente, de paix…

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