La CEB de Niangoloko, localité située à 47 kilomètres de Banfora dans la Comoé, a organisé sa journée de l’excellence au titre de l’année scolaire 2023-2024, le 06 Novembre 2023. Portée par la mairie de ladite ville, cette journée a été coparrainée par Kassoum David Koné le commissaire général de Niangoloko en fête et par Aziz Sébégo dit Watib. Une cinquantaine de lauréats ont été distingués à l’occasion.

Adama TRAORE

Mieux vaut tard que jamais, a-t-on coutume d’entendre. En effet, ils étaient nombreux à croire que la journée de l’excellence à l’école primaire de la commune de Niangoloko ne verrait plus le jour. Le 06 Novembre 2023, cette commémoration a été une réalité et a permis de récompenser une cinquantaine de lauréats dont des élèves, des enseignants, des écoles et des APE.

Selon l’inspecteur chef de la CEB, Hamidou Traoré, cette journée vise à créer la saine émulation entre les écoles et les élèves de commune de Niangoloko. « Chers enseignants, chers élèves, au délà des récompenses que vous allez recevoir ce matin et au-delà des honneurs qui vous sont adressés, nous devons bien lire, bien comprendre et surtout bien retenir le message qui se cache derrière cette cérémonie. Autrement dit, nous sommes invités à redoubler d’effort et d’ardeur à nos postes de travail » a fait noter le CCEB aux enseignants. Il a poursuivi en disant qu’il est attendu d’eux un don de soi, de l’engagement et du dévouement ainsi que la prise de conscience qui caractérise l’enseignant.

Cette journée a en effet permis de récompenser le meilleur enseignant avec une moto. Le deuxième et le troisième enseignants sont repartis chacun avec un ordinateur. En plus de vélos, les sept meilleurs élèves de la CEB ont reçu chacun un vélo. Un kit scolaire dont la valeur varie de 10 milles à 18 milles selon les catégories ont également été remis aux élèves méritants.

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L’Association Vie d’Enseignante pour une Société Épanouie (AVISE) a procédé à la remise de pagne 08 Mars aux femmes PDI ,en préparatif à  la journée internationale de la femme. C’était sous le thème « Entreprenariat communautaire : quelle contribution des femmes ? ». C’est l’école Tatana au secteur n°15 de Banfora qui a servi de cadre cette célébration en présence du représentant du gouverneur des Cascades, d’une forte mobilisation des membres de l’association et des femmes PDI affectées par la situation sécuritaire. Elles ont reçu des pagnes du 8 mars grâce à l’association AVISE.

C’est en collaboration avec Women’s Leadership in Action (WILIA), que l’association AVISE s’engage pour la prévention et la gestion pacifique des conflits dans les villages de Nafona, Tengréla et Tatiana dans la commune de Banfora. D’où la présence massive des femmes de ces localités à cette commémoration en différé de la journée internationale de la femme.

Adama TRAORE/Flash info

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Un ancien détenu de la Maison d’arrêt et de correction de Banfora (MACB) a été jugé le 07 Novembre 2023 et condamné à 36 mois de prison ferme par le TGI de Banfora. L’homme que nous appellerons  SY a été libéré de prison il y a seulement un mois. Il purgeait une peine de 12 mois pour les mêmes faits de stellionat qui l’ont conduit à la barre une seconde fois ce 07 Novembre 2023. Les seconds faits, faut-il le dire, se sont déroulés alors qu’il était toujours en détention. Etant donc en prison, il a, un jour, demandé et obtenu une permission d’une semaine pour assister sa femme malade et c’est pendant ce laps de temps qu’il a commis ce second forfait.

Adama TRAORE

En l’espèce, SY a vendu un terrain que son frère, KI, avait déjà vendu à quelqu’un d’autre, un enseignant du nom de YS. En effet, ayant acheté le terrain en 2020, YS en attendant plus de moyens pour y faire des travaux, menait des activités de production agricole. Voilà qu’en 2022, quelqu’un d’autre vient déposer des agrégats. Et malgré les interpellations de l’enseignant, ce nouvel acquéreur ira jusqu’à construire des maisons sur le domaine. Empêché du coup de produire, YS s’en plaint chez IK qui promet de régler le problème. Mais cela prenait du temps. Alors YS porte l’affaire à la justice. Les deux frères sont entendus à la police qui a conduit l’enquête. Devant les officiers tout comme à la barre , IK reconnait avoir vendu le terrain d’une superficie de 8 000 mètres carrés à YS à 2 millions de francs CFA. A l’entendre, c’est un terrain qu’il a hérité de sa mère puisqu’avant le décès de leur père, chaque femme avait reçu un terrain qu’elle devait exploiter avec ses enfants. Seulement, il fait remarquer que lorsque leur papa remettait les terrains aux femmes, la mère du prévenu, SY, n’était plus avec leur papa. Elle l’avait quitté et par conséquent, elle n’a pas été attributaire de domaine. IK ajoute qu’entre frères, ils ont décidé de donner une portion à SY mais qu’il l’a vendu peu de temps après. Les propos de IK sont battus en brèche par le prévenu SY qui soutient que la terre appartient à leur papa et donc, à eux tous. Il ajoute que c’est parce que son frère IK et les autres vendaient les terrains comme bon leur semble que lui aussi a décidé d’en vendre.

Mais pour le procureur, SY a vendu le terrain tout en sachant qu’il avait déjà fait l’objet d’une première vente. Et le fait de commettre ce délit alors qu’il se trouvait déjà en prison pour les mêmes faits de stellionat montre qu’il n’est pas prêt à s’amender. Pour lui, il faut une sanction de taille. Toutefois, il fait savoir que la récidive ne peut pas peser contre lui puisqu’il était toujours en détention lorsqu’il commettait ce forfait. Par conséquent, il a demandé au président du tribunal de le condamner à 24 mois de prison et à une amende de 500 000 F CFA le tout ferme. Le procureur a également demandé un mandat de dépôt contre SY à l’audience. En définitive le président a retenu contre lui 36 mois de prison et 500 000 F CFA d’amende les tout fermes. Et comme l’enseignant YS s’est constitué partie civile, le prévenu SY devra en sus lui payer la somme de 2 millions de francs CFA au titre des dommages.

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Dans la matinée de ce 10 Novembre 2023,jeunereporter a été informé par un ami de son quartier de la hausse considérable du prix du riz dans les boutiques de la place.Ainsi,le prix du sac de 25 kg passe à 26000 au lieu de 21.000 francs.

Partout dans les boutiques de la place à Bobo-Dioulasso,les chuchotements ne cesse pas.Les prix des denrée de premières nécessité ont augmenté dans ces temps si laissant le citoyen lamda se demandé si tous cela était l’impact de la Guerre. Meme le riz que l’on achetait partout à 125F/Kg,nous ne pouvons plus l’acheté à ce jour,a laissé entendre un autre citoyen du quartier. Pour lui,il se pourrait que c’est le complot des commerçants qui augmenterait le prix du riz sans une arrière pensée pour se faire de l’argent.

Cathérine S.ZONGO/Flash info

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La société de microfinance « ecofinance »recherche une caissière pour un contrat de stage de trois mois pour embauche.

Conditions:

-Etre immédiatement disponible

-Avoir le Bac G2

-Avoir fait un stage dans une entreprise de microfinance ou pas

-Résidé à Bobo-Dioulasso ou pas

-Etre accueillante

NB: Pour tous renseignement complémentaire veuillez vous adressez au secrétariat du journal jeunereporter sise à Accarville de Bobo-Dioulasso.

C.S.ZONGO

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Après le départ des autorités municipales de la ville de Sya,les commerçants qui avaient déguerpi leur lieu de commerce sur les caniveaux se sont encore réinstallés. Ce constat  a été fait par jeunereporter,dans la matinée de ce 07 Novembre 2023 sur le tronçon reliant le plateau Yéguéré à l’Hôpital de DO.

Judicael S. SOMBIE

Des lieux de commerce visiblement installés sur les caneaux de passage d’eau,d’autres installés anarchiquement juste sur les locaux ou devraient etre fixés les panneaux de stop et j’en passe.C’est ce qui ressort du constat de jeunereporter.

Meme si les autorités municipales ont lancé la campagne de déguerpissement en phamphar, il n’en reste pas moins que les abords de la voirie que nous avions visité sont laissés à elle mêmes.

Aussi ,ce que jeunereporter déplore,c’est le délaissement total de cette voirie qui est souvent victime des accidents du à l’installation anarchique.Une autre à préciser ,c’est le faite que cette voie est fréquentée par des ambulances et les secouristes.Etant donné que nous savons tous que les ambulances et les secouristes ne circulent pas doucement surtout quand il ont sur eux des malades qu’ils doivent deversé à l’Hopital de Do.

Nous interpellons les autorités communales ,à ne pas baissé les bras car aucun développement ne pourrait être possible dans le désordre.

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Dans la matinée du Lundi 06 Novembre 2023, a eu lieu au sein de la CNSS, la traditionnelle monté des couleurs. Cette montée des reconnue à sa juste valeur tous les premiers lundi du mois. L’objectif de cette montée de couleurs est de respecter la citoyenneté et le respect des couleurs de la nation.  Cette montée de couleur a été présidée par le Directeur général, Dr Herman Yacouba Nacambo lors de sa visite à Bobo-Dioulasso. 

Cathérinr S.ZONGO

Le Ditanyè récité en cœur, les agents de la CNSS se sont mobilisés autour du drapeau et c’est le message de fin « TENONS BON » qui a le plus tiré l’attention des agents de ce département. « Une fois de plus, c’est un honneur et un privilège pour nous de faire cette montée des couleurs », a laissé entendre le Directeur général, Dr Herman Yacouba Nacambo lors de son allocution à l’endroit de  ses agents.

Ph du Directeur général, Dr Herman Yacouba Nacambo

Selon lui, nous devons tous faire pour prôner et   réaffirmer notre patriotisme, notre engagement pour accompagner tous ceux qui œuvrent au quotidien pour que notre pays réussisse la mission de lutte contre le terrorisme. Au-delà du terrorisme, notre devise incarne l’exaltation d’un certain nombre de valeurs notamment les valeurs d’intégrité, de probité, d’ardeur au travail et d’honnêteté.

Ph de famille des acteurs de la CNSS

Le Directeur général a lancé un appel à l’endroit du personnel de la CNSS à faire en sorte que l’esprit de la défense de l’ensemble de ces valeurs soit une réalité afin que nous puissions relever les défis qui sont ceux de la CNSS et de notre pays.

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Les premiers responsables du Projet de Gestion durable des paysages communaux pour la  réduction des émissions de gaz à effet de serre dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (PGCD/REDD+), ont organisé le 04 novembre 2023 à Bobo-Dioulasso, un atelier de validation d’une stratégie de communication au profit dudit projet. Son objectif est de renforcer les pratiques de gestion durable des paysages et d’améliorer l’accès aux revenus, y compris au financement climatique, pour une résilience accrue des communautés rurales dans les zones forestières ciblées du Burkina Faso.

Judicaël S SOMBIE

Cet atelier qui a pour objectif d’enrichir et  de faire valider la stratégie de communication par l’ensemble des acteurs qui interviennent dans le projet PGPC/REDD+ veut en ce moment-là, l’obtention d’un document inclusif et ceci, à travers l’implication de tous les acteurs concernés.

Selon le  coordonnateur du PGCD/REDD+, Monsieur Jean Bosco SO, le projet concerne 96 Communes de 8 régions de notre pays et vise à renforcer la gestion durable du paysage et à améliorer la génération de revenus au profit  des populations de sa zone de mise en œuvre pour une durée de 6ans.

Ph du coordonnateur du PGCD/REDD+, Monsieur Jean Bosco SO

Pour le spécialiste en communication du projet, Monsieur Thierry Roland OUEDRAOGO, plusieurs axes d’intervention sont prévus dans le plan de la communication. Il s’agit notamment de l’amélioration de la communication institutionnelle du projet, du développement d’une communication pour le changement de comportement et  de l’élaboration de la  documentation ainsi que la capitalisation des acquis du projet.

A la suite de la présentation de la stratégie de communication, les participants ont procédé à sa validation sous réserve d’intégration des différents amendements apportés au cours des débats. Le PGPC/REDD+ est le fruit de la coopération entre le Burkina Faso et la Banque mondiale.

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