Porte-parole de la Coordination des organisations de la société civile, Justin DABIRE, leader d’étudiants et acteur de la société civile, est connu comme un personnage qui n’a pas sa langue dans sa poche. Dans un entretien qu’il a accordé à Jeunereporter  le samedi 18 novembre 2023, celui là même qu’on surnomme le vétéran, sans langue de bois, livre son analyse sur l’actualité nationale, notamment les réquisitions, les «dérives » de certains journalistes, son appréciation et son analyse sur la situation sécuritaire.

Selon les analyses de Justin DABIRE, Ibrahim TRAORÉ incarne le souhait du peuple burkinabè. Il incarne les vertus que doit avoir un président pour diriger une nation. Le Burkina Faso était à la croisée des chemins et avec l’arrivée du capitaine Ibrahim TRAORÉ, nous avons tous vu automatiquement cette volonté de redonner une nouvelle image au Burkina Faso. Le président a montré la volonté, a trouvé les moyens, a eu l’audace et l’intelligence pour faire sortir le pays du gouffre.

C’est la raison pour laquelle nous affirmons notre  soutien inconditionnel au président.

Nous y reviendrons dans nos prochaines parutions

L’info continue sur Jeunereporter.net

Le président de l’OSC Burkimbi Gad-Taaba, Hamadé MAÏGA,de la section Bobo lors d’une interview qu’il nous a accordée le 25 Novembre 2023 est revenu sur la volonté de la Coordination des OSC à cotiser afin d’offrir un avion de chasse aux forces combattantes.  

Selon Hamadé Maiga, lors de notre récente conférence de presse pour glorifier nos forces combattantes, nous avons pris l’initiative d’offrir un avion de chasse aux autorités de la transition comme cadeau de Noël pour contribuer à lutter contre le terrorisme. Cette décision a été prise parce que nous avons confiance en la capacité de la population qui est derrière son armée. Nous avons de grands opérateurs économiques, la population, tout le monde est déterminé pour la reconquête du territoire, raison pour laquelle nous nous appuyons sur ces personnes. Chaque Burkinabè peut apporter sa modeste contribution. Ce que nos forces combattantes font sur le terrain mérite d’être galvanisé encore plus.

Pour lui, il faut reconnaître que c’est difficile d’offrir un avion de chasse en si peu de temps. Mais nous allons faire tout notre possible. A défaut du mois de décembre, grouiller offrir coûte que coûte notre cadeau. Pour acheter un avion de guerre, en plus des protocoles, il faut débourser une somme faramineuse.

Cathérine S.ZONGO

L’info continue sur Jeunereporter.net

Le cancer du sein chez les hommes est rare. Seulement, moins de 1% de toutes les leucémies du sein les affectent. Il est cependant important que les hommes sachent qu’ils peuvent être concernés par le cancer afin de ne pas en négliger les symptômes. Pour mieux comprendre cette maladie chez l’homme,Jeunereporter a eu un entretien avec le Professeur Ollo Roland Somé, chirurgien-cancérologue au Centre hospitalier universitaire Souro Sanon (CHU-SS) de Bobo-Dioulasso, au Burkina Faso.Il a fait un pétit coup de guel sur le cancer du sein  chez l’homme.

Selon le Professeur Ollo Roland SOME,le sein, en parlant de la glande mammaire, est peu développé chez l’homme. Une modification est rapidement perceptible, mais l’éventualité d’un cancer du sein n’est pas bien connu chez l’homme parce qu’on n’y pense pas souvent. D’où le retard à poser un diagnostic et à dépister un éventuel cancer. Les symptômes du cancer du sein chez l’homme sont les mêmes que chez la femme. Ils peuvent inclure, entre autres, la sensation d’une boule dans le sein, pouvant être douloureuse ou non ; un gonflement ou un épaississement du tissu mammaire, un mamelon inversé ou d’autres changements visibles à la surface de la peau du sein. Il y a -rarement- un écoulement de sang par le mamelon et, exceptionnellement, un ganglion à l’aisselle. Toujours est-il que les modifications cutanées sont rapides étant donné les rapports étroits de la peau et de la glande mammaire chez l’homme.

Adama TRAORE

Nous y reviendrons en détails dans nos prochaines parutions.

L’info continue sur Jeunereporter.net

Justin DABIRE, secrétaire général de la Coordination de la société civile livre son analyse sur l’opérationnalisation des nouveaux Bataillons d’intervention rapide (BIR) et la suspension des institutions comme le Conseil économique et social, le Médiateur du Faso, la Haute Cour de justice entre autres. C’était le 9 décembre 2023 à Bobo-Dioulasso à la place Tiéfo Amoro lors d’un diné matinale.

Le gouvernement burkinabè a opérationnalisé 7 nouveaux Bataillons d’intervention rapide ( BIR) dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Pour Justin DABIRE,ce sont des techniques et des méthodes de combat qui étaient attendues. Cela permettra d’occuper notre territoire, le maillage de notre territoire et permettra à notre armée d’avancer dans la lutte contre le terrorisme dans la mesure où nous voulons éradiquer le terrorisme au Burkina Faso. Avec ces preuves palpables, il faut reconnaître effectivement que l’armée burkinabè monte en puissance. Certes avant cette opérationnalisation, des actions offensives étaient menées sur le terrain, un travail d’ailleurs à féliciter mais la mise en place des BIR permet de prendre en compte la sécurisation de tout le territoire. Ils vont permettre de consolider chaque partie du Burkina Faso récupérée car il ne s’agit pas de chasser les terroristes et de repartir, il faut consolider. Ce que nous voulons c’est que le gouvernement étende les BIR dans chaque région, dans chaque province et même au niveau des communes.

Ces genres d’actions sont vraiment à saluer et cela est la raison pour laquelle, les Burkinabè sont encore plus engagés à contribuer pour l’effort de paix.

Cathérine S.ZONGO

Linfo continue sur jeunereporter.net

Novembre 2023. Les récoltes sont finies dans les zones agricoles du Burkina. A KELYA, un village de la commune rurale de TOUSSIANA ,situé à 55 Km de Bobo-Dioulasso , si certains cultivateurs se frottent les mains, d’autres sont plutôt découragés.

Par Cathérine S.ZONGO

«KELYA» est situé dans la commune rurale de TOUSSIANA, au sud de la route nationale Bobo-Dioulasso Banfora. Le 7 novembre 2023, je me suis rendu dans ce petit village qui est à quelques kilomètres de la capitale  économique du Burkina Faso.  De chaque côté de la route en terre, menant à Toussiana, j’aperçois ça et là, des champs d’arachides, de maïs et surtout de haricots.

Les animaux, en liberté depuis que les récoltes ont été faites, broutent ça et là, sans contrainte désormais. Au bord de la route, j’aperçois un homme debout devant une boutique. Il se présente à moi sous le nom de Sylvain TRAORE, père de famille, cinq enfants et propriétaire de la boutique.

Après la présentation et à peine ai-je abordé la question des récoltes de cette saison que M. Sylvain TRAORE m’a coupé la parole : «Cette année, je ne sais pas ce que je vais devenir… Je n’ai rien récolté. J’ai pourtant cinq enfants et une femme à nourrir. Les choses s’annoncent déjà compliquées et ce n’est pas bon».

L’info continue sur Jeunereporter.net

Le personnel du service de chirurgie du CHR de Banfora s’est fortement mobilisé ce 29 Décembre 2023 pour le grand nettoyage, une activité qui est organisée une fois tous les trois mois. Une mobilisé saluée par les différents responsables de ce service, dont Docteur Sékou Traoré, qui indique que le nettoyage général vise à rendre le cadre travail sain et offrir des soins de qualité aux populations.

Adama TRAORE

Nous sommes en plein dans les journées nationales d’engagement patriotique et de participation citoyenne au cours desquelles les Burkinabé sont invités à mener plusieurs activités mais il faut reconnaitre avec Docteur Sékou Traoré, chef du service de chirurgie du CHR de Banfora, que le grand nettoyage du bloc opératoire fait partie des activités régulières du service. C’est une activité qui rentre dans le cadre de la prévention des infections et qui commence depuis le bloc opératoire jusqu’au post-opéré. A entendre Docteur Traoré, elle permet de réduire substantiellement les infections ou nouvelles infections dans la mesure où dans ce service, le flux de malades et d’accompagnants est assez important et des infections croisées peuvent se produire si le CHR ne met pas un point d’honneur à ce nettoyage.

Ouiry Koéta, Major du post-opéré estime que les accompagnants pouvaient et devaient aider le personnel dans ce grand nettoyage

C’est une activité qui intervient de façon périodique, chaque trois mois. Pour ce premier trimestre de l’année 2023,  le personnel du bloc opératoire a retenu pour mener l’activité. Sibiri Diabaté, le major du bloc opératoire explique que le grand nettoyage consiste à sortir tout le matériel, à nettoyer le bâtiment depuis le plancher jusqu’au mur en passant par les portes. Ce nettoyage concerne également le matériel technique qu’il faut ranger puis stériliser toute la zone.

L’info continue sur Jeunereporter.net

jeunereporter a appris près de sources concordantes qu’ une nappe poussiéreuse allait inondée  le ciel Ouagalais et Bobo-Dioulasso ces temps si. Inquiet de cette situation, jeunereporter est allé interviewé le Dr Abdallah Ouédraogo, responsable d’un  centre médical de la place pour recueillir ses avis. Suivons les problèmes liés à cette nappe poussiéreuse.

Une nappe poussiéreuse n’est pas toujours anodine. Il y’a forcément souvent des germes qui sont accompagnés de cette nappe poussiéreuse, donc on peut dire que vu la présence probable au niveau de cette nappe poussiéreuse il faut s’inquiéter pour sa santé et se protéger.Les personnes qui ont déjà les problèmes respiratoires, des maladies respiratoires ou qui ont des maladies chroniques respiratoires comme l’asthme ou les bronchopathies ont déjà des appareils respiratoires qui sont déjà fragiles. Donc si la poussière avec les germes doit venir s’ajouter à cela, ces personnes ont beaucoup plus de risques de faire des complications de maladie par rapport aux personnes qui n’ont pas de problème particulier même si ces derniers aussi, peuvent avoir des problèmes de santé.

Nous y reviendrons en détail dans nos prochaines parutions…

Judicael S. SOMBIE

L’info continue sur Jeunereporter.net