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Bobo/Art Plastique : Une association lance  met en place en place une exposition « Yiriwa »

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Ce mercredi 14 octobre 2023, le musée communal Sogossira SANOU a accueilli la cérémonie de lancement officiel de la toute première foire d’art plastique à Bobo-Dioulasso. C’est le président de la chambre de commerce de Bobo  SIENOU qui a présidé le lancement des activités.

Kader OUATTARA(Stagiaire)

Ainsi durant les quatre jours du festival il sera question d’expositions d’oeuvres d’art plastique, de Master Classe ainsi que de performances.   C’est dans un cadre très décontracté et vraiment adapté à l’idée créatif du collectif Wekré.   Le Gouverneur a sollicité  auprès des artistes de faire des articles à la hauteur du portefeuille du burkinabè.   La population bobolaise est invitée à visiter les œuvres d’arts exposées au musée Sogossira SANOU.

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A Nazi Boni  : un sport matinale pour renforcer la santé et de cohésion les acteurs

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Le jeudi 14 décembre 2023,  le Pr S. Médard KIENOU premier  vice-président en charge de la professionnalisation et des relations Université-entreprises a organisé une séance d’animation sportive au profit de la communauté universitaire, les activités sportives au Stade Wobi de Bobo-Dioulasso pour maintenir leur santé et assuré la cohésion entre ses membres.

Kader OUATTARA(Stagiaire)

Pendant 45 mn environ, le personnel de l’UNB s’est adonné  à ces activités sportives. À l’issue de cette séance, le VP/PRUE PR Medar KIENOU a invité tout le personnel à la pratique du sport de masse, car le dit-il, « en matière de santé, mieux vaut prévenir que guérir. L’objectif de cette activité, c’est la santé par le sport. J’invite alors la communauté universitaire à sortir de temps en temps du bureau, des amphis pour se retrouver et essayer de maintenir une forme physique optimale. Ce qui est important pour maintenir la santé physique et mentale, mais aussi les liens de cohésion entre les membres de la communauté  ».

Le Président de l’UNB, Pr Hassan Bismarck NACRO, a remercié tous les présents à la première séance du sport. Il a félicité la Vice-présidence PRUE,  responsable des sports,  pour cette initiative. Il a souhaité que chacun présent au stade Wobi incite les collègues à venir aux prochaines séances.

En rappel les activités sportives sont programmées tous les jeudis à 16h au Stade Wobi.

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UNB : la League  des débatteurs renforcent leur capacité

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Dans la matinée de ce  Dimanche 15 Décembre 2023, la League des débatteurs de l’UNB à travers l’honorable Coulibaly,  a donné  une formation en procédure Parlementaire, Rédaction de Procès  Verbal et de Rapport.   Cette formation s’inscrit dans l’un des objectifs de la League des Débatteurs de l’UNB qui est de permettre l’épanouissement et la Formation des étudiants.Ces étudiants débatteurs sont au nombre de 15.

Nous reviendrons en détails…

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A l’université Nazi BONI : un projet d’excellence pour une synergie d’excellence

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Le  Pr Hassan Bismarck NACRO, Président de l’UNB et ses pairs  ont tenu une rencontre de présentation d’un  projet le mercredi 15 novembre 2023 dans la salle de réunion du Bâtiment LONAB, sis au Centre de Formation et de Recherche (ex Centre de Calcul). L’objectif est  de concrétiser le projet pour un développement durable.

Cathérine S. ZONGO

Une cérémonie d’ouverture a été un des points forts de la rencontre. A cette occasion,  Pr Jean de Dieu ZABSONRE, représentant l’équipe qui travaille autour du projet Excellence 2030 et Vice-président chargé des enseignements et des innovations pédagogiques, a remercié toutes les entreprises amies qui ont effectué le déplacement, avec une mention particulière à Hermann BAYALA, représentant l’entreprise allemande Rhodes & Schwarz et ayant effectué le déplacement de l’Allemagne au Burkina Faso. Il a souhaité que l’UNB et ses amis puissent, main dans la main, bâtir une université qui apporte des solutions aux problèmes de développement de notre pays .

Pr Hassan Bismarck NACRO,  Président de l’UNB, a souhaité la bienvenue aux amis de l’institution. A travers son discours, il a fait ressortir les défis à relever et les moyens nécessaires à mobiliser à côté de ceux de l’Etat du Burkina Faso pour l’accomplissement des missions. Il a exprimé sa fierté par rapport à l’initiative  « Excellence 2030 » que l’UNB développe avec son partenaire allemand Rhodes & Schwarz, à laquelle l’UNB espère voir les entreprises amies de. Bobo-Dioulasso et d’ailleurs marquer leur adhésion. À cet effet, dans le cadre du programme  « Excellence 2030 », l’Université Nazi BONI a déjà signé avec Rhodes & Schwarz un contrat de sponsoring à hauteur de 720 millions FCFA à travers le don d’appareils de mesure.

Ph de famille des participants à la rencontre

En assemblée générale, les amis de l’UNB ont élaboré les textes statutaires et proposé une feuille de route.

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Université Nazi Boni : un Enseignant-chercheur licencié(Conseil des Ministres)

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Le Conseil des ministres en sa séance du  vendredi 29 décembre 2023, a adopté un décret portant licenciement d’un Enseignant-chercheur de l’Université Nazi Boni (UNB) en situation d’abandon de poste. Ce licenciement est pris en application des dispositions du décret n°2015-1366/ PRES-TRANS/PM/MESS/MRSI/MS/MEF/ MFPTPS du 20 novembre 2015 portant modalités de mise en demeure des enseignants-chercheurs, des enseignants hospitalo-universitaires et des chercheurs en cas d’abandon de poste ou refus de rejoindre le poste assigné.   Selon le compte rendu du conseil des ministres, enseignant-chercheur visé est affecté à l’Unité de formation et de recherche en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion de l’Université Nazi Boni.   Il est en situation d’absence irrégulière de son poste de travail constaté par sa hiérarchie depuis le 30 juin 2023.  Malgré les communiqués radiodiffusés, l’intéressé ne s’est pas présenté jusqu’à l’expiration du délai de dix (10) jours.   L’adoption de ce décret permet le licenciement de la Fonction publique, de Monsieur ZOUBA Lalbila Raphaël, Mle 391800 М, Enseignant-chercheur, catégorie P, échelle A, grade initial, 1er échelon, pour abandon de poste pour compter du 09 août 2023.

Par la rédaction

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Centre Universitaire de Banfora : Le CENOU se souci du bien être des étudiants

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Les premiers responsables du CENOU avec à sa tête, le Directeur général du CENOU de l’université Nazi Boni , en la personne de Monsieur SANOGO, entouré de ces proches collaborateurs ont effectué une visite au centre universitaire de Banfora. C’était dans la matinée de ce 11 Novembre 2023. Le Directeur Régional du CENOU était accompagné de son service social, de restauration et des cités. A cette visite des étudiants, une séance de sensibilisation du VIH/SIDA a été faite à l’endroit des étudiants de Banfora. Dans le cadre  de la mise en œuvre de sa mission de promotion de la santé en milieu universitaire, le Centre National des Œuvres Universitaires (CENOU) a entrepris depuis quelques temps une  stratégie de plaidoyer pour la lutte contre la drogue, la toxicomanie et les violences sous toutes ses formes en milieu universitaire.

Kader OUATTARA (Stagiaire)

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A Banfora : le procès de Théophile HEMA renvoyé au 13 février 2024

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Deux jeunes de Banfora ont comparu devant la barre du TGI de Banfora dans la matinée de ce 14 Novembre 2023  pour répondre des faits de dégradation de biens immobiliers volontaire. Il s’agit des magasins qui étaient en construction à l’intersection de la route qui mène à Sindou et celle qui vient du Conseil Régional des Cascades et dont les travaux étaient conduits par Théophile Héma, un des fils du regretté chef de canton de Banfora, Yoyé Héma. Le dossier a été renvoyé au 13 février 2024 à la demande du conseil des deux prévenus pour raison de santé. La partie civile tenait à ce que le dossier soit jugé au regard de ce qu’elle ne réside pas à Banfora. Mais le procureur leur a fait noter que la demande du renvoi est un droit reconnu aux prévenus et à leur conseil. Il leur a également notifié que le premier renvoi du dossier a du reste été formulé par eux et le tribunal n’y avait trouvé aucun inconvénient. En définitive, le dossier a été renvoyé au 13 février à la demande de l’avocat des prévenus.

Kader OUATTARA(Stagiaire)

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A DIARRABA/CASCADES : la Culture maraîchère se porte à merveille

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Sur le tronçon Banfora-Niangoloko, Diarabakoko, localité située à 25 km de Banfora, les cultures maraîchères ne sont pas mises en marge par les populations. C’est ainsi que notre reporter a suivi avec engouement les champs maraîchers. Le voici sur les berges du fleuve Comoé, le 25 Novembre 2023, avec les maraîchers.

Commentaire de Adama TRAORE

Parmi ce nouvel exploitant maraîcher, Tahirou SOMBIE, originaire de Diarabakoko. Sur sa parcelle nouvellement préparée, il a semé du piment. « Le piment rapporte beaucoup mais seulement c’est très fatigant. Il faut être courageux sinon tu n’engrangeras rien comme bénéfices », avertira-t-il d’entrée de jeux.   En effet, pour irriguer sa parcelle cela n’a pas été simple. Le producteur SOMBIE  a dû beaucoup investi pour y arriver car il y a assez de difficultés dans cette entreprise maraîchère à gauche du pont Comoé. « Depuis très loin, j’ai placé mes tuyaux pour drainer l’eau jusqu’ici.  Certains me décourageaient que la distance était trop longue pour irriguer ma parcelle. Mais quand tu vois que tu peux t’en sortir dans une entreprise, il ne faut pas considérer la distance. Si tu dépenses s’il plaît à Dieu tu auras pour toi », relate SOMBIE a qui dit tirer l’eau à plus de 500 mètres. « La distance doit valoir un kilomètre. J’ai installé environ 25 tuyaux plus des raccords puisse que, sous le pont, on ne peut pas utiliser des tuyaux mais des raccords. J’ai creusé un canal pour enterrer ces tuyaux à cause des bœufs qui peuvent les endommager. Ce qui engendrera d’autres dépenses », a poursuivi le maraîcher.

C’est dire que le problème d’eau pour l’irrigation des parcelles se pose avec acuité à Diarabakoko pour certains maraîchers. « Nous sommes nombreux chacun avec sa parcelle », précisera-t-il. Beaucoup sont à leur première expérience en ces lieux à l’exception de deux exploitants selon notre interlocuteur. A notre passage, certains étaient en train de labourer à nouveau leurs parcelles. Des producteurs qui doivent hâter le pas, car à un moment donné, lorsque la saison hivernale s’installera, la zone est quasiment sous les eaux du fleuve avec la crue. Ces exploitants en sont du reste conscients et comptent réaliser plusieurs récoltes avant le mois d’Aout, période de la crue disent-ils.

Outre la distance pour le drainage de l’eau sur les parcelles, le problème d’engrais est énuméré en premier lieu par SOMBIE qui évoque ensuite le traitement des plants. « Tant que tu ne fais pas le traitement du piment ça ne va pas donner. Si tu fais le traitement et tu n’ajoutes pas ensuite l’engrais, tu ne récolteras rien non plus », a soutenu le producteur.   Pour le moment, ces maraîchers se débrouillent eux-mêmes. « Nous n’avons aucun soutien », dit-il. Une fois les sacrifices bien consentis il y a des bénéfices certains, rassure SOMBIE . Le piment est écoulé en Côte d’Ivoire. « Les femmes viennent payer pour envoyer vendre en Côte d’Ivoire. Nous n’avons pas d’usine de piment au Burkina. S’il y avait une usine au Faso, on pouvait facilement écouler notre production mais nous n’avons qu’une usine de tomates », poursuit ce dernier. En plus du piment, M SOMBIE est en train d’aménager une autre parcelle pour la culture de la tomate.

Pourtant, depuis longtemps, cette zone était délaissée par les exploitants. Pourquoi fait-elle maintenant l’objet d’intérêt pour la culture maraîchère? « Ce sont les temps qui ont changé. Effectivement cette zone n’était pas exploitée. En fait, nous manquons de parcelles au bord des cours d’eau », situe SOMBIE . Il a une expérience dans le jardinage car dit-il, à Diarabakoko, lui et son géniteur en étaient les pionniers. « Bien avant il n’y avait assez qui s’aventuraient dans le domaine. A un moment donné chez nous les parcelles ne produisaient pas bien et nous avons abandonné suite au découragement. Maintenant que la culture du piment est très rentable nous avons jugé bon de revenir dans le domaine », a expliqué l’exploitant qui ne sait pas encore s’il va revivre les mêmes déboires de la faiblesse de rentabilité. « Nous allons encore essayer, si ça marche nous allons continuer et si ça doit devenir comme ce que nous avons déjà vécu, nous allons abandonner », prévient SOMBIE.

La production du piment rapporte beaucoup, foi des acteurs que nous avons trouvés sur place…

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A Karaborosso/Comoé : les VDP réclament un renforcement des capacités et des armes

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Dans le souci de défendre la patrie dans le strict respect des règles prescrites par les lois et règlement, les VDP du village de Karaborosso, une localité de Banfora. Ils exigent le besoin en armement adéquat pour faire face à l’idre terroriste. Une information confirmée par les premiers responsables de sécurité de Banfora.

Commentaire de Adama TRAORE

Munis de fusils de chasse sous un soleil de plomb, ils surveillent les environs de leur village et la brousse, Eux, ce sont des volontaires pour la défense de la patrie (VDP) auto-engagés de Karaborosso, localité de la Comoé. Entretien à bâton rompu avec des tracqueurs de terroristes qui veulent des armes adaptées à leur lutte. 12h40mn au village de Karaborosso. Selon les temoignafes des VDP, « nous osons faire demi-tour pour nous entretenir avec eux ». Ces VDP soutiennent avoir déjà appréhendé plusieurs terroristes qu’ils ont remis aux autorités. À Karaborosso, ce n’est pas la volonté et la détermination qui manquent chez ces VDP comme on peut le constater. Mais ils ont des attentes pressenties. Celles de se voir recrutés et formés. « Si nous gagnons une aide, nous pouvons faire la formation pour être des VDP ou des militaires pour combattre les terroristes et sauver notre pays » implorent ces VDP.

En tout cas, pour être plus efficaces aux côtés des autres VDP formés et équipés, c’est le cri de cœur lancé par ces éléments qui veillent sur leur village afin qu’ils ne soient pas contraints comme d’autres localités de fuir un jour, craignent-ils.

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TGI de Banfora : un orpailleur condamné à 36 mois de prison pour vol

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Monsieur X (nom d’emprunt)  est un orpailleur âgé de 22 ans. Sa fille est tombée malade au moment où il n’avait pas le moindre centime. Comment faire face aux dépenses entrant dans le cadre des soins ? Après réflexion Monsieur X trouve la mauvaise idée de braquer une gérante de transfert d’argent à sa descente. Il met deux jours pour étudier le trajet emprunté celle sur qui il a jeté son dévolu. Au troisième jour, précisément le 22 Novembre 2023, il  attend la gérante sur son trajet habituel. Lorsque celle-ci était en vue, il progressa jusqu’à atteindre un endroit qu’il a jugé propice pour passer à l’action. Il interpella la fille qui n’a pas voulu s’arrêter. Alors, il se saisit de son sac. La fille se mit à crier. Ce qui ameute les gens autour. Monsieur X  n’aura pas la chance de bouger. Il est alpagué et conduit chez les autorités.

Dans ses réquisitions, il a demandé au président de le condamner à 36 mois de prison et à une amende de 500 milles francs le tout ferme car pour lui, le motif invoqué pour commettre le vol ne saurait être une circonstance atténuante. En définitive, Monsieur X sera condamné par le président à 36 mois de prison dont 24 mois fermes et à une amende de 500 milles francs ferme…

Adama TRAORE

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