En prélude de la formation des femmes de médias, le second jour s’est axé essentiellement sur les lois qui régissent le fonctionnement des médias du Burkina faso. C’était le 24 janvier 2024 à l’hôtel HaÏdara de Bobo-Dioulasso , sous le thème « L’ égalité et la sécurité des femmes journaliste du Burkina Faso. »

Cathérine S. ZONGO

Le  deuxième jour de la formation, s’est débuté par une  communication, des exercices  pratiques relatifs aux lois et textes législatifs qui garantissent l’égalité hommes/femmes,  garantie par la constitution burkinabé de 1991 et la déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH) mais aussi dans les combats que mène l’association des journalistes burkinabé (AJB).

Une partie des démonstrations de l’exercice pratique lors de cet atelier

Rabiatou Simporé , communicatrice de cet exercice, explique les différentes  discriminations dont sont victimes les femmes journalistes, ses causes et ses différentes formes qui sont entre autres,  les harcèlements sexuels, le stéréotype/préjugé sont entre autres les modules qui ont été développés.

Une évaluation de fin de formation a permis de confirmer que les objectifs de cette formation ont été bien atteints. D’autres renforcements de capacités de ce genre ont été sollicités par l’ensemble des participants.

Ph de Sata Bouaré, journaliste à la RTB Haut Bassin

Sata Bouaré, journaliste à la RTB Haut Bassin, est une participante de la formation des femmes journaliste du Burkina Faso.  Elle affirme d’avoir beaucoup appris de la formation car, le thème était d’actualité. « à travers cette formation, j’ai compris  la différence entre le sexe et le genre et harcèlement que les femmes journalistes peuvent rencontrer dans le cadre du travail. C’était vraiment enrichissant. » Explique-t-elle Adja Bouaré, elle adresse ces vives salutation et remerciement à l’endroit des organisateurs et formateurs de cet atelier pour leurs excellents travaillent. Par  ailleurs, elle encourage les  journalistes d’être forte, social,  car le métier  n’est pas facile se former, cherché réellement à comprendre le métier, car celui-ci n’est pas facile. De plus, elle invite les consœurs  en cas de difficulté, d’essayer d’être ouverte, échangé, et exposer leurs problèmes afin qu’ensemble nous cherchons des solutions à travers nos médias.

La formation s’est terminée par une remise d’attestation aux  différents participants.

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