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Meeting de soutien à la transition à Bobo-Dioulasso : Le mouvement « Pour la patrie ou rien » lance un message fort.

Ce 1er Juillet, comme tous les villes du Burkina Faso,le mouvement « pour la patrie ou rien » a marqué son soutien à l’élan de la transition et aux autorités qu’ils estiment être à la hauteur des attentes du peuple. À Bobo Dioulasso, l’heure était à une mobilisation gigantesque.

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Marche meeting, caravane, sensibilisations de la population jusqu’à la place Tiéfo Amoro de la ville de sont entre autres les méthodes utilisées par le mouvement « Pour la patrie ou rien » pour montrer leur soutient non seulement à la transition mais leur reconnaissance aux idéos du président Ibrahim TRAORE. Le drapeau du Burkina flottait de toute part, les discours avaient le même sens  » Tenez bon capitaine, le peuple est avec vous!  » selon le mouvement « pour la patrie ou rien ».De part et d’autre, ce qui résonnait le plus c’est la volonté de l’adoption d’une nouvelle constitution qui soit en phase avec les grandes aspirations du peuple, une nouvelle boussole qui va orienter l’avenir du peuple.

Pour le président du mouvement « la patrie ou rien » , KONATE Alassane a fait savoir devant notre micro nul ne tentera déstabiliser ce  pouvoir de la transition. C’est pourquoi, il estime qu’accompagner la transition est un fondamentale.

A la question des partenariats, Alassane KONATE prône la diversification des partenaires pour enrayer l’ydre terroriste qui sévit dans la nation.

Vue d’une partie de la caravane de sensibilisation

Çà et là, femmes, jeunes, vieux n’ont pas manqué l’occasion de se faire entendre. Ils sont par ailleurs un soutien indéfectible à la transition et comptent en rester tel tant que le capitaine Ibrahim Traoré et ses hommes travaillent pour la souveraineté du peuple. Là-dessus, ils n’ont que ce fils prodigieux du pays au regard de ses actions volontaristes doublées d’un engagement sans faille.

Selon Amidou SAWADOGO, vice-président du Mouvement « pour la patrie ou rien ».On retient de ses dires, la question de Djibril BASSOLET sur l’échiquier  nationale et internationale, sur la fixation des prix des armements.

Sous une fine pluie, les populations ont non seulement réclamé une nouvelle constitution mais ils ont aussi mis en garde toute tentative de coup d’Etat et de déstabilisation du pouvoir de la transition.

L’info continue sur Jeune reporter.net

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