Les réactions se succèdent depuis l’annonce de la mort du Premier ministre ivoirien, ce mercredi 10 mars. Les chefs d’État du continent saluent un « grand homme d’État » dont la disparition constitue « une grande perte pour la Côte d’Ivoire et pour l’Afrique ».
Par la rédaction du journal woun info.net
La plupart le savaient condamné, mais le décès d’Hamed Bakayoko, le 10 mars en Allemagne, a provoqué une onde de choc parmi les dirigeants ivoiriens et africains. Dans les heures qui ont suivi l’annonce de sa disparition, beaucoup ont réagi à la disparition du Premier ministre, fauché à 56 ans par un cancer fulgurant.
De nombreux chefs d’État, ministres et responsables politiques du continent ont aussi réagi à la disparition du natif d’Adjamé. Roch Marc Christian Kaboré, le président burkinabè, qui était proche de Bakayoko, déplore la perte d’un « frère attaché à la vitalité des relations historiques » entre leurs deux pays. Autre voisin : Bah N’Daw, le président de la transition malienne, qui décrit « une grande perte pour la Côte d’Ivoire et pour l’Afrique ». Félix Tshisekedi, le président de la RDC, a pour sa part rendu hommage « à ce digne fils du continent africain reconnu pour son implication dans la valorisation des cultures africaines »
Macky Sall, Mahamadou Issoufou, Idriss Déby Itno… Plusieurs autres présidents africains ont aussi publiquement adressé leurs condoléances après la disparition brutale d’Hamed Bakayoko.
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